🥃 Version gueule de bois, en bref quoi !

Oublie tout ce qu’on t’a raconté sur le marketing “bien sous tous rapports”. Ici, on parle du sale boulot : apprendre à cliver, à repousser, à s’assumer assez fort pour perdre des clients – et mieux fidéliser les vrais.
Cet article démonte la grande illusion du consensus, célèbre l’exclusion assumée, et t’explique pourquoi il vaut mieux dix ennemis que mille indifférents.
Entre stratégies qui cognent et manifestes sans vernis, tu vas découvrir comment faire de tes refus une force, pourquoi les haters sont un signe de bonne santé, et comment bâtir une tribu qui survivra à toutes les modes.
Pas de langue de bois, pas de recettes tièdes – juste la réalité, crue, de ceux qui veulent compter pour de vrai.

Cet article s'inscrit dans l'étape 2 du parcours de la visibilité.


Sommaire

Le résumé audio en 5 minutes

Il faut arrêter de se mentir.
Le marketing, aujourd’hui, c’est devenu une putain de parade pour gentils garçons propres sur eux, suant des slogans désinfectés sous les néons d’un open space qui sent la vanille chimique.
Tout le monde veut plaire, tout le monde veut un like, un pouce levé, un regard approbateur de la masse.
Et tu crèves à petit feu dans cette attente stérile, la langue râpeuse d’avoir trop léché les bottes de clients qui n’achèteront jamais rien, le cœur sec comme une éponge usée.

On t’a dit d’être sympa, accessible, d’avoir une voix “humaine”.
On t’a surtout jamais dit que la vraie loyauté, le vrai business, ça se passe dans la boue, dans la crasse, dans l’endroit où personne ne veut traîner plus de cinq minutes.
C’est là, dans les coins sombres, que tu trouves tes vrais clients — ceux qui restent quand la lumière s’éteint, ceux qui t’aiment parce que tu ne leur mens pas, parce que tu t’en fous de plaire à la terre entière.

Le marketing répulsif, c’est l’art de t’assumer assez fort pour te faire détester.
C’est sabrer le cordon ombilical avec les tièdes, envoyer valser les touristes, et lever ton verre à ceux qui aiment ta gueule cabossée.
C’est là, seulement là, que commence le vrai boulot.
Le reste, c’est de la mousse, de la poudre à lessiver les consciences.

Tu veux qu’on t’aime ?
Commence par accepter qu’on te déteste.
Le reste, c’est de la littérature pour commerciaux dépressifs.


I. La grande illusion : vouloir plaire à tout le monde, c’est plaire à personne

Les tièdes ne t’achèteront jamais rien

Tu peux faire des efforts, dérouler tes plus beaux tapis rouges, écrire des pages de vente parfumées à la vanille et tendre la joue pour la bise des indifférents : rien n’y fera.
Les tièdes te regardent, hochent la tête, trouvent ça “pas mal”, “intéressant”, “peut-être plus tard”.
La vérité ? Ils n’achèteront jamais. Ils sont trop occupés à checker Netflix et leur relevé bancaire anémique.
Si tu continues à leur courir après, tu te retrouves à court de souffle et à sec de fric.


Consensus mou, enterrement sans fleurs

Le consensus, c’est la maladie mortelle du marketing moderne.
On t’a appris à “ne pas froisser”, à “rassembler”, à faire comme tout le monde.
Résultat : tu deviens invisible dans la masse grise des “professionnels bienveillants”, des “experts disponibles”, des “marques qui écoutent”.
On ne se souvient pas de toi. Tu meurs sans bruit, sans gloire, sans même un like de pitié.


Citation : “Si vous essayez de plaire à tout le monde, vous ne plairez à personne.” – Seth Godin

Godin l’a dit. Pas moi.
Mais franchement, qui a envie de traîner avec ceux qui cherchent l’approbation générale ?
Ceux-là ne prennent jamais le volant. Ils préfèrent compter les likes en silence, regarder passer la caravane.
Le chien qui aboie, c’est toi qu’on remarque, pas celui qui agite la queue pour tout le monde.

Auteur à succès dans le domaine du marketing

Ceux qui tiennent bon quand tout est sale et que la lumière s’éteint, ce sont toujours les authentiques.

À la fin, quand tout le monde est parti, il ne reste que ceux qui ont goûté à la même galère, respiré la même fumée.
Ce sont eux qui te paient. Eux qui te rappellent.
La masse t’oublie, mais les vrais, ceux que tu n’as pas essayé de séduire, eux, ils restent.
Tu n’es pas là pour réchauffer des bancs. Tu es là pour marquer, diviser, et laisser une trace.


Pourquoi vouloir plaire est la première cause de la disparition des entrepreneurs

Ceux qui veulent plaire à tout le monde finissent rincés, lessivés, vidés de toute substance.
Ils crèvent la gueule ouverte, sans bruit, parce qu’ils ont confondu la gentillesse avec la mollesse.
Le marché ne récompense pas les “pas de vagues”.
Il récompense ceux qui prennent position, qui assument, qui s’en foutent d’être aimés par tous, mais qui fascinent une poignée de vrais.
C’est ça, la seule loi qui tienne.


II. L’éloge de l’exclusion : repousse les faibles, attire les fous

Filtrer ou mourir : Dan Kennedy avait raison

La vie n’est pas un supermarché où tu sers la main à tout le monde.
Dan Kennedy l’a compris avant toi : filtrer, c’est survivre.
Ceux qui veulent bosser avec tout le monde finissent lessivés, la gueule pleine de miettes, le portefeuille aussi vide que leur discours.
Sélectionne. Sélectionne salement. Pose des barrières.
C’est le premier acte de respect envers toi-même — et envers ceux qui paient vraiment.


Ta tribu ou la foule : merci Russell Brunson

Brunson parle de tribu, pas de fan-club d’adolescents sans cause.
Tu ne veux pas une armée de followers anonymes, tu veux des allumés qui crient ton nom sous la pluie.
Les autres, laisse-les courir acheter le dernier mug inspirant.
Construis ta secte. Fais entrer les initiés. Barre la porte aux touristes.


Les marques qui polarisent engrangent tout : Harley, Apple, Netflix

Harley-Davidson ne veut pas séduire les gentils conducteurs du dimanche.
Apple ne parle pas aux allergiques à la différence.
Netflix ne craint pas de faire hurler les puristes du cinéma : ils avancent, et derrière eux, une horde de fans qui détestent qu’on les confonde avec le troupeau.
Les autres râlent, tapent du poing, critiquent.
Mais ce sont ces marques-là qui ramassent la mise, pendant que les consensuels passent à la caisse pour payer la lumière.


Le non, arme fatale : refuser des clients pour devenir désirable

Jean-François Ruiz le dit : il faut choisir ses clients comme on choisit ses amis de débauche.
Refuser de bosser avec ceux qui te donnent la nausée, c’est te libérer.
Affiche tes limites. Dis non.
Il y a un pouvoir immense dans le refus — tu deviens rare, précieux, inatteignable pour les mendiants de prix cassés.


Copywriting polarisant : l’art de la claque (Stan Leloup)

Stan Leloup l’a résumé en une punchline : le copywriting polarisant, c’est écrire pour repousser, pas pour racoler.
Une page de vente doit donner envie à certains de claquer la porte, pour que d’autres s’y sentent chez eux.
Écris des textes qui dérangent, qui divisent, qui tranchent.
Mieux vaut une salle pleine de fous qu’un stade vide de zombies.


Conclusion : Repousse les mous, attire les mordus

La prochaine fois qu’on te demande à qui s’adresse ton offre, commence par dire à qui elle ne s’adresse pas.
Ceux qui se sentent exclus sont tes meilleurs ambassadeurs : ils iront cracher leur frustration et, pendant ce temps, les autres viendront trinquer avec toi dans la boue.
Repousse.
Attire.
Et souris — tu viens de rejoindre la cour des vrais.


III. Le marketing répulsif, c’est se foutre du like facile

L’anti-faux-semblant : mieux vaut dix ennemis que mille indifférents

Tu veux la vérité ? Les likes, ça ne paye pas le loyer.
Le marketing répulsif, c’est accepter qu’on t’insulte, qu’on te bloque, qu’on t’envoie des mails de rage parce que t’as osé dire tout haut ce que les autres planquent sous la moquette.
Oussama Ammar (une personnalité qui tranche) le martèle : polarise ou crève.
Arrête de lécher les likes comme un chien affamé — vise ceux qui mordent, qui grognent, qui répondent.
Le vrai business naît dans la friction, pas dans l’applaudimètre.


Affiche tes positions, assume tes tripes

Tu veux attirer ?
Commence par sortir du rang, balance tes convictions comme des pavés dans la mare, affiche haut et fort ce que tu refuses :
— Les pinailleurs
— Les éternels hésitants
— Les “oui mais”
— Les champions du “c’est trop cher”
Pose ta marque, ta différence, comme un bar-tabac qu’on ouvre la nuit dans un quartier mal famé.
Il n’y aura pas la queue, mais ceux qui entreront paieront comptant.


Fous dehors les touristes : ose l’expulsion

Dans le business, comme dans un vieux rade, faut savoir dire “Dégage”.
Vire les touristes, les opportunistes, les parasites qui viennent picorer sans jamais commander un verre.
Fais-le sans détour, sans excuse, sans la petite musique de fond.
Dis-leur : ici, c’est pas pour toi.
Résultat ? Ceux qui restent deviennent des habitués, des piliers.
Les autres iront pleurer sur Google Reviews. Tant mieux.
Chaque insulte, chaque critique, c’est un filtre de plus entre toi et ta vraie clientèle.


La vérité crue : la loyauté naît dans la galère

Ce n’est pas dans les salles de conférence climatisées qu’on forge les liens.
C’est dans la galère, dans la vérité brute, dans l’endroit où tu prends des coups et où tu réponds.
Les fidèles, tu les reconnais à leur capacité à rester quand la fête est finie et qu’il ne reste plus que les miettes.
Tes clients fidèles, ce sont ceux qui ont survécu à la claque, au discours sans sucre, à la porte claquée au nez des autres.
Eux seuls méritent ta sueur.


Les likes ne feront jamais de toi un original

A la fin, ce qui compte, ce ne sont pas les pouces levés, c’est la poignée de cinglés qui te suivent dans la tempête.
Les autres, laisse-les liker en silence.
Toi, vis pour les regards francs, les avis tranchés, les gueules qui restent quand tout le monde a fui.
C’est là, dans la marge, que naît la vraie légende.
Le reste, c’est la mousse sur la bière tiède.


IV. Mode d’emploi cash : comment faire du marketing répulsif sans finir ermite

Fais ton coming out identitaire : qui tu es, qui tu refuses

Arrête de cacher la poussière sous le tapis.
Fais ton coming out. Affiche tes tripes, balance tes positions, largue tes valeurs sur la table comme une quinte flush.
Déclare haut et fort qui tu refuses de servir. Les grincheux, les peureux, les voleurs de temps : dehors.
Seth Godin l’écrit noir sur blanc dans « Tribus » : mieux vaut être chef d’un village de barjos que président du bal des faux-culs.
Montre ta couleur. Ceux qui restent seront fiers de porter ton écusson.


Dis “non” publiquement : l’élitisme qui rend magnétique

Le “non”, c’est ta meilleure arme.
Fais-le en public.
Dis-leur, sur ton site, dans tes emails, dans tes contenus : “Si t’es venu pour le prix, passe ton chemin.”
Oussama Ammar le fait sans trembler : il revendique son élitisme, sa tribu de gens “bizarres”, son rejet du mainstream.
La magie, c’est que ce “non” attire bien plus fort que tous les “oui” du monde.
Refuser, c’est susciter la convoitise. Le club fermé fait toujours bander ceux qui restent dehors.


La disqualification, ce n’est pas une option, c’est une stratégie

Fais-le à la hache au début, au scalpel ensuite.
Stan Leloup et André Dubois sont clairs là-dessus : la disqualification, c’est la base.
Sur tes pages de vente, écris noir sur blanc pour qui ce n’est pas.
Dézingue les objections molles, raille les hésitants, sors les “pas prêts”.
Plus tu exclus, plus ceux qui restent se sentent élus, spéciaux, dignes de l’effort.
Tu veux de la ferveur ? Commence par trier.
La ferveur n’existe que dans les clubs fermés.


Rédige ton manifeste : la frontière entre eux et toi

Tu veux que ta marque survive aux marées grises ?
Écris ton manifeste. Un vrai. Pas une charte “gentille”.
Affirme ce que tu crois, ce que tu refuses, ce que tu ne feras jamais, quitte à choquer.
Russell Brunson le conseille dans “Expert Secrets” : trace une ligne dans la boue, marque ton territoire.
Ceux qui veulent passer la frontière doivent se salir les bottes.
Ceux qui hésitent, qu’ils restent de l’autre côté.


Exemples à injecter direct dans tes pages

Tu veux du concret ? Balance des phrases comme :
— « Si t’as besoin qu’on te tienne la main, va voir ailleurs. »
— « Si t’as peur d’assumer tes choix, cette offre n’est pas pour toi. »
— « Ce qu’on fait ici, c’est pas pour les touristes. »
— « Si tu veux une solution miracle, file droit chez le voisin. »

Mets ces mots en gras, en rouge, en banderole si tu veux.
Ceux qui partent ne t’auraient jamais rien apporté.
Ceux qui restent sont déjà de ta famille.


Conclusion : Repousse, trie, assume – tu verras qui ose frapper à ta porte

Le marketing répulsif, c’est pas un délire de poète maudit.
C’est la réalité.
Trie les mous, claque la porte, écris tes règles, et ouvre la bouteille à ceux qui comprennent ta chanson.
Les autres… Qu’ils aillent chercher du sucre ailleurs.
Toi, t’as mieux à faire avec ta bande de survivants.


V. Les risques (et pourquoi s’en foutre)

Perdre des ventes ? Oui, et alors.

On te dira toujours : “Tu vas perdre des clients.”
C’est vrai.
Mais ces clients-là, t’en aurais voulu ? Ceux qui chipotent, qui négocient tout, qui te font des retours dignes d’un contrôleur des impôts pour une facture à 50 balles ?
Chaque fois que tu dis non, tu te libères d’une migraine.
Mieux vaut une poignée d’originaux qui paient comptant qu’un bataillon de suiveurs qui tirent la gueule.
Perds des ventes, gagne de la marge, et surtout, retrouve du temps pour les vrais.


Les haters sont le prix à payer pour exister

Tu veux faire l’unanimité ?
Reste dans l’ombre, tais-toi, disparais dans la poussière des consensus.
Mais si tu veux compter, si tu veux laisser une trace, les haters sont inévitables.
Ils râlent, ils commentent, ils essaient de te faire taire.
Mais derrière chaque rageux, il y a dix lecteurs silencieux qui hochent la tête en secret, et un client qui clique.
Gary Vaynerchuk le résume : “Be yourself, fuck the rest.”
Chaque ennemi de plus, c’est la preuve que tu t’approches de quelque chose de vrai.


Le bad buzz, carburant de la tribu

Un bad buzz, c’est un passage obligé pour qui sort du lot.
Regarde Elon Musk : il agace, il choque, il clive.
Il pourrait se taire, marcher droit, devenir fade – mais non, il balance, il fait grincer, et sa tribu grossit à chaque vague de critiques.
Kanye West (un peu trop nazi à mon goût), c’est la même sauce.
Leur secret ?
Ils s’en foutent.
Ils savent que le bruit attire, que la friction crée de la loyauté.
Mieux vaut être détesté pour ce que tu es que célébré pour ce que tu n’es pas.


Le confort, c’est la mort lente de ta marque

Si tu veux du confort, ouvre une boutique de chaussons.
Mais si tu veux créer une marque, une vraie, accepte l’inconfort, le clash, la zone de turbulence.
La mollesse, ça tue.
La friction, ça construit.
Tu n’es pas là pour être aimé de tous, tu es là pour faire bouger les lignes, pour forcer la porte, pour marquer ceux qui oseront te suivre.


Résiste à la tentation de redevenir gentil

Le doute, parfois, viendra te gratter le fond du crâne.
Tu verras des commentaires, des regards de travers, des désabonnements.
Tu seras tenté de remettre un peu d’eau tiède dans ta vodka.
Résiste.
C’est le dernier test, le moment où la plupart replongent dans la masse.
Rappelle-toi : chaque fois que tu recules, tu effaces ce que tu viens d’inscrire.
La route, elle est pour les coriaces.


Conclusion : Les risques sont les filtres de l’aventure

Le marketing répulsif n’a jamais été une promenade de santé.
C’est une bagarre.
Mais c’est seulement dans la poussière, la crasse et la critique que tu trouves l’or, la loyauté et la légende.
À toi de voir ce que tu veux bâtir.
Des likes, ou une armée.


VI. Références et ressources pour aller plus loin

Les armes du savoir : à boire et à mordre

Parce qu’il faut nourrir la bête.
Parce que le marketing répulsif, ça ne sort pas du chapeau, ça se construit sur les épaules de ceux qui ont osé dire merde avant toi.


Seth Godin – We Are All Weird, Tribus

Deux bouquins à avaler cul sec si tu veux comprendre pourquoi courir après la norme, c’est creuser ta tombe.
Godin t’apprend que la marginalité, c’est pas une punition, c’est une chance.
À lire pour arrêter de rêver d’un monde où tout le monde t’aime.


Dan Kennedy – No B.S. Marketing to the Affluent

Pas de politiquement correct ici. Kennedy, c’est le daron de la sélection, de l’exclusion, du “non” qui sauve ta santé mentale.
Si t’es prêt à te faire remonter les bretelles, lis-le.


Russell Brunson – Expert Secrets

Le gars des tunnels de vente, mais surtout, l’évangéliste de la tribu.
Bâtir un clan, tracer la frontière entre les tiens et le reste.
Tactiques concrètes, pas de blabla.


Stan Leloup – Marketing Mania (podcast, YouTube)

Il a mis les mains dans la boue du copywriting polarisant.
Va écouter ses épisodes sur l’art de repousser pour mieux attirer.
Moins de followers, plus de mordus. Le calcul est simple.


André Dubois – TraficMania

Le copywriting sans gants.
Lui aussi t’explique que plaire à tous, c’est n’intéresser personne.
À picorer si tu veux voir comment filtrer tes prospects à la machette.


Oussama Ammar – Conférences, YouTube

Il polarise, il l’assume, il s’en fout.
Ses conférences valent mieux que tous les cours de “personal branding” pour comprendre la puissance de la friction.


Gary Vaynerchuk – Crushing It!

Le gars qui a bâti son empire en disant ce qu’il pense, et tant pis pour les chochottes.
Inspire-toi de son franc-parler, même si t’aimes pas ses baskets.

Gary Vee

Copyhackers – “Polarizing Copywriting”

Des articles à garder sous le coude si tu veux injecter de la rébellion dans tes pages de vente.
Des exemples, des tactiques, des coups de boule textuels.


Conclusion : La bibliothèque du marginal

Lis, écoute, mets-toi en colère, puis balance tout ce que t’as appris sur le papier, sur la toile, ou dans la gueule du monde.
Ceux qui restent, ce sont les tiens.
Les autres ? Ils reviendront, ou pas.
On s’en fout.


Conclusion — La loyauté, ça se forge dans l'épreuve

On t’a menti.
On t’a vendu l’idée qu’il fallait sourire, dire merci, tendre l’autre joue.
On t’a soufflé qu’un client, c’est sacré, qu’il faut faire des courbettes, avaler des couleuvres, et surtout ne pas faire de vagues.
Résultat : des cohortes d’entrepreneurs en PLS, des marques insipides, des carrières qui disparaissent comme des cendres dans les chiottes.

Les vrais, les coriaces, les inoubliables, ceux qu’on cite dans les dîners ou qu’on maudit sur les forums, ils se sont tous salis les mains.
Ils ont dit non.
Ils ont envoyé promener les parasites, claqué la porte aux suiveurs, et brandi leurs différences comme un coup de poing dans la gueule de la normalité.

Le marketing répulsif, c’est pas une mode, c’est une nécessité.
C’est accepter de passer pour le sale gosse, l’enfoiré, le marginal.
C’est construire dans la boue, pour récolter de l’or.
La loyauté, elle ne naît pas dans la lumière des projecteurs, elle se forge à la fermeture du bar, quand il ne reste plus que les vrais, ceux qui s’en foutent de ta gueule tant que tu ne leur mens pas.

Assume de cliver, de repousser, d’exclure.
Fous la paix aux gentils, laisse filer les mous.
Parie sur la minorité rugueuse.
Le reste, c’est du vent.


Voilà, t’as tout.
Il te reste plus qu’à choisir : tu veux compter les likes, ou écrire ton nom sur le mur du fond ?


FAQ – Le marketing répulsif, sans filtre

1. Est-ce que je vais vraiment perdre des clients si j’applique ça ?

Oui. Tu vas même en faire fuir certains, et c’est parfait. Ceux-là n’étaient pas faits pour toi. Tu libères de la place pour les vrais.

2. Le marketing répulsif, ce n’est pas juste être désagréable pour le plaisir ?

Non. C’est être honnête, tranchant, sans langue de bois. Tu n’es pas là pour faire de la figuration ni pour caresser tout le monde dans le sens du poil.

3. Et si je me fais détester sur les réseaux ?

C’est que tu commences à exister. Les haters, c’est le bruit de fond des marques qui sortent du lot. Pas de vague ? Pas d’écho.

4. Je peux être polarisant dans tous les secteurs ?

Presque tous. Si tu vends des cercueils ou des parachutes, nuance un peu. Mais dans 99 % des cas, oser diviser, c’est la clé pour rassembler mieux.

5. Comment savoir si je vais trop loin ?

Si tu ne froisses jamais personne, tu es déjà trop loin dans la mollesse. Ajuste si tu te retrouves seul, mais vise toujours à trier plutôt qu’à plaire.

6. Ce n’est pas risqué pour mon image ?

Rester invisible l’est encore plus. Les marques qu’on retient sont celles qui prennent position, qui s’exposent, qui acceptent la critique.

7. Comment débuter sans flinguer tout mon business ?

Commence par exclure poliment ce que tu refuses (types de clients, demandes, attitudes). Puis augmente la dose. Rédige un manifeste, affirme tes positions, repousse les touristes. Les vrais reconnaîtront les vrais.


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