Ce type-là s’appelle Jean Rivière.
Il n’a pas crié. Il n’a pas couru. Il a juste bossé pendant que les autres vendaient du vent.
400 formations sans costard, sans sourire forcé. Des vidéos faites maison, de l’écriture à la main, et un jour : rideau.
Il a fermé boutique au sommet, comme un mec qui préfère crever libre que vivre en vendant des PDF à moitié vides.
Ici, tu vas lire ce qu’il a fait, pourquoi il l’a fait, et comment il est devenu un foutu exemple de ce que c’est, se différencier sans devenir une pub vivante.
Cet article s'inscrit dans l'étape 5 du parcours de la visibilité.
Ecouter plutôt que lire ?
Sommaire
1. INTRO / Le calme dans la tempête des clowns2. Webmarketing Junkie : l'usine solitaire à 400 formations
3. L'obscession du texte : l'évangile des introspectifs
4. L'anti-marketing : vendre sans draguer
5. L'éthique de la solitude : produire pour survivre
6. Le clash: mentor, disciple à couteaux tirés
7. Quitter Webmarketing Junkie : la retraite avant la gloire
8. Ce que ça dit : l'art de se différencier ou crever
FAQ (Foutue Avalanche de Questions)
1. INTRO / le calme dans la tempête des clowns
Pendant que la horde des vendeurs de rêve lissait leurs cheveux sur Instagram, lui écrivait.
Il n’était pas là pour séduire. Il n’était pas là pour convaincre. Il balançait ses idées comme on crache ses poumons au petit matin, après une nuit trop longue.
Jean Rivière, c’est l’anti-héros du marketing.
L’homme qui a réussi sans brandir le drapeau de la réussite.
Pas de trophée en carton. Pas de screenshot Stripe. Pas de villa à Bali.
Juste une voix, une présence, une cadence que même les machines ne tiendraient pas.
Moi, je suis ce bonhomme depuis plus de dix ans.
Dix putains d’années à le lire, l’écouter, le regarder faire le contraire de ce que les autres enseignaient.
Dix ans à observer ses mutations. Parce que Jean, c’est pas un produit. C’est un type en mouvement.
Comme les peintres ont leurs périodes : Picasso et son bleu qui pleure, puis son rose un peu saoul…
Lui, il a eu sa période formation à la chaîne, sa période vidéo tous les jours, sa période solitude au bord de la falaise numérique, sa période je-fous-le-feu-à-ce-que-j’ai-construit.
Il avance, il laisse derrière.
Et ce qu’il laisse est plus vivant que les trucs morts que les autres continuent de pousser en promo.
Jean Rivière, c’est pas un influenceur. C’est un foutu écrivain qui vendait sans vendre.
Un artisan. Un franc-tireur. Un type qui a choisi de crever libre plutôt que vivre à moitié dans une stratégie LinkedIn.
2. Webmarketing Junkie : l'usine solitaire à 400 formations
Pas de stagiaire. Pas de startup nation. Pas de funnels. Juste un type, un micro et une rage méthodique.
Webmarketing Junkie, c’était pas une startup, c’était un atelier d’artisan.
Une formation par semaine, seul.
Le contenu, c'était pas du fluff. C'était du dur. Du vécu. Du bricolé, parfois. Mais toujours pensé.
Pourquoi ce nom était déjà une claque
"Webmarketing Junkie".
Un nom qui pue la dépendance.
Pas "Webmarketing Pro", pas "Académie du Succès". Non. Junkie.
Comme un aveu. Comme une confession.
Il ne vendait pas du rêve, il vendait sa came.
Et il en était le premier accro.
Ce nom, c'était déjà une déclaration de guerre aux marketeurs en costard-cravate.
⏱️ La cadence infernale comme preuve de foi
Une formation par semaine.
Pendant des années.
Plus de 400 au total.
Et puis, 419 leçons vidéo publiées quotidiennement sur Webmarketing Junkie.
Pas de pause. Pas de vacances.
Juste lui, son micro, et sa volonté de fer.
Une machine de guerre, mais avec une âme.
Pas pour impressionner. Pour transmettre.
Zéro bling. Zéro bullshit.
Pas de studio high-tech.
Pas de montage hollywoodien.
Juste un écran, une voix, un message.
Pas de promesses de millions en 30 jours.
Juste des idées, des méthodes, des réflexions.
Il ne vendait pas du rêve. Il vendait du réel.
Et c'était ça, sa force.
✍️ 3. L'obscession du texte, l'évangile des introspectifs
Il n’a pas suivi la mode. Il a suivi le silence.
Quand les autres chantaient sur TikTok, lui écrivait des lettres. Des vraies. Des lettres à l’ancienne. Des trucs qu’on lit deux fois.
Le mec a réhabilité la lenteur dans un monde de stories de 15 secondes.
Pourquoi l’écrit est un acte de résistance
Jean Rivière a toujours préféré le texte à la vidéo. Il rédige chaque jour une newsletter à la main, sur un cahier, avant de la retranscrire au format numérique. Il y joint souvent des photos de la version manuscrite, partageant ainsi sa démarche d'écriture avec ses lecteurs. (Jean Rivière)
Il parle de créativité, d'organisation, de réalisation de projets, d'apprentissage, de transformation personnelle et de psychologie pratique. Des sujets profonds, loin des tendances superficielles du moment. (Jean Rivière)
La newsletter comme confession intime
Chaque jour, Jean Rivière envoie une newsletter rédigée à la main. Il y partage ses réflexions sur la créativité, l'organisation, la réalisation de projets, l'apprentissage, la transformation personnelle et la psychologie pratique. Il rédige chaque newsletter au stylo dans un cahier, puis la retranscrit au format texte pour la rendre plus facile à lire. À chaque fois, il joint aussi les photos de la version manuscrite, pour partager avec ses lecteurs sa démarche d'écriture. (Jean Rivière)
Cette approche crée une relation intime avec ses lecteurs, loin des communications impersonnelles automatisées.
Le texte comme arme contre le vide
Dans un monde saturé de contenus éphémères, Jean Rivière choisit la profondeur. Il utilise l'écriture introspective pour explorer ses pensées et émotions, offrant ainsi à ses lecteurs des perspectives uniques et réfléchies. (Jean Rivière)
Il ne cherche pas à séduire, mais à partager une vision authentique du monde, loin des artifices du marketing traditionnel.
💣4. L'anti-marketing : vendre sans draguer
Il t’attrape pas avec une promesse à deux balles. Il t’attrape avec une idée.
Pas de bonus. Pas de minuteur. Pas de manipulation.
Tu veux ? Tu prends. Tu veux pas ? Dégage.
C’est ça, vendre sans vendre. C’est pas du snobisme. C’est de la décence.
🎯 Comment il retourne les codes sans le dire
Jean Rivière ne suit pas les règles du marketing traditionnel.
Il ne propose pas de promotions flash, de témoignages clients enjolivés ou de pages de vente surchargées.
Il mise sur la simplicité et l'authenticité.
Ses formations sont présentées de manière directe, sans artifice.
Il privilégie le contenu de qualité et la relation sincère avec son audience.
🕳️ Les ventes cachées, les messages directs
Le bonhomme ne bombarde pas ses abonnés d'e-mails promotionnels.
Il envoie une newsletter quotidienne, rédigée à la main, où il partage ses réflexions et ses expériences.
Il n'y a pas de stratégie de vente agressive, juste une conversation continue avec ses lecteurs.
Lorsqu'il propose une formation, c'est parce qu'il estime qu'elle peut réellement aider, pas pour atteindre un objectif de vente.
🧘 Sa posture : ni vendeur, ni gourou. Créateur. Point.
Ce gars ne cherche pas à être un influenceur ou un expert infaillible.
Il se positionne comme un créateur qui partage ses idées et ses méthodes.
Il ne promet pas le succès instantané, mais offre des outils pour ceux qui souhaitent avancer à leur rythme.
Sa démarche est celle d'un artisan, pas d'un vendeur de rêve.
🧘5. L'éthique de la solitude : produire pour survivre
Il n’a jamais cherché à “scaler”. Il a cherché à rester droit.
La solitude, chez lui, c’est pas un bug. C’est un système d’exploitation.
Un business sans équipe, sans plan de domination mondiale.
Un homme. Un cerveau. Un micro.

Il s’est barré à la campagne. Une vieille ferme, un toit pas droit, des murs qui grincent comme des souvenirs trop lourds.
Pendant que les autres cliquaient sur des tableaux Trello en sirotant leur latte d’amandes, lui, il empilait des brouillons sur la table, entre deux sacs de plâtre et une brouette.
Il voulait pas une villa. Il voulait le silence. Celui qui cogne plus fort que n’importe quel like.
Le gars, il voulait plus voir personne. Ni client, ni collègue, ni “partenaire stratégique”.
Il voulait pas faire croître un business. Il voulait survivre à l’intérieur de lui-même.
Il s’est fabriqué une vie avec zéro réunion, zéro Zoom, zéro petit drapeau de notification.
Juste un cahier, un café, parfois un marteau.
Il écrit à la main.
Pas pour faire vintage.
Parce que c’est son moyen de sentir s’il est encore vivant.
Un stylo Bic contre le vertige du vide.
Et quand ça tient debout sur la page, il le tape à la machine, comme on cloue une idée dans le réel.
C’est pas un système. C’est pas une stratégie. C’est une nécessité.
Il s’éloigne d’Internet pour pouvoir dire quelque chose qui vaille la peine d’y retourner.
Là où les autres font du contenu pour nourrir les réseaux, lui, il coupe les câbles pour nourrir ses nerfs.
Le bonhomme vit sans rendez-vous.
Pas de planning. Pas d’agenda.
Juste un battement de cœur qui décide à sa place.
Il écrit quand ça brûle. Il crée quand ça déborde. Il vend quand c’est prêt.
Pas avant. Pas autrement.
⚔️6. Le clash : mentor, disciple à couteaux tirés
La guerre froide avec Antoine BM : quand l’élève flirte avec la copie
Un jour, le disciple a trop copié le maître.
Et le maître a balancé un crachat. Un vrai.
Pas sur la gueule du mec. Sur le système. Sur cette habitude qu’ont les jeunes loups de pomper les vieux lions.
Il l’a dit sans procès. Sans tribunal. Mais avec le feu.
Il y avait ce gars, le vieux loup solitaire du marketing, qui traçait sa route en marge des sentiers battus. Et puis, il y avait ce jeune chien fou, avide de liberté et de reconnaissance, qui suivait ses traces de près.
Pendant un temps, ils ont marché côte à côte, partageant idées et bières, jusqu'à ce que le vieux sente l'haleine du jeune dans son cou.
Le vieux a vu rouge. Il a crié au plagiat, accusant le jeune de lui voler ses mots, ses idées, son âme. Il a menacé de le traîner en justice, de lui briser les jambes avec ses potes ukrainiens.(YouTube, Opportunités Faciles)
Le jeune, abasourdi, a nié. Il a dit qu'il avait été inspiré, pas copié. Qu'il avait toujours crédité le vieux, qu'il l'avait même invité à son mariage. Mais le mal était fait.
Le vieux a effacé ses messages, mais la rancune est restée. Le jeune a coupé les ponts, décidé à tracer sa propre route, loin de l'ombre du mentor devenu ennemi.
Et moi, je regarde ce spectacle, amer. Deux hommes, deux egos, deux visions du monde qui s'entrechoquent. Un mentor trahi, un disciple incompris. Une histoire vieille comme le monde.
7. Quitter Webmarketing Junkie : la retraite avant la gloire
Et puis un jour, il a tué son monstre. Il a arrêté la machine.
Pas par échec. Par lucidité.
Il a choisi la marge. Le texte pur.
Il a préféré la liberté à la rente.
Ce choix, personne ne le fait. Sauf ceux qui savent que la vie, c’est pas une landing page.
Le gars aurait pu tirer jusqu’à la fin.
Faire comme les autres. Tirer sur la corde. Réchauffer ses vieilles vidéos. Ajouter un bonus à deux balles. Repackager ses formations avec un nouveau nom et un sourire de façade.
Mais non.
Il a pris son flingue et il a buté son propre monstre.
Webmarketing Junkie, c’était son usine, son repaire, son cabanon numérique.
Une machine qui tournait. Une boutique qui crachait du cash sans gueuler.
Mais lui, il regardait le truc et ça ne lui disait plus rien.
Le feu avait changé de place.
Alors il a tiré le rideau. Sans promo. Sans excuse.
Il a dit merde à tout ce qu’il avait bâti.
Et ça, c’est pas un geste de business.
C’est un geste d’écrivain.
Un de ces moments où t’as plus rien à prouver, plus rien à défendre, juste quelque chose à dire.
Mais ailleurs.
Autrement.
Il a dit : Je préfère écrire. Pour de vrai. Tous les jours. À la main.
Et tu sais quoi ?
Il l’a fait.
Pas de teasing. Pas de grand come-back. Juste un gars, une ferme, un carnet, une putain de lampe de bureau.
Il aurait pu scaler. Il a choisi de respirer.
Il aurait pu vendre plus. Il a préféré creuser plus profond.
C’est ça, la vraie sortie.
Pas un clap de fin. Un silence. Une disparition.
Et un murmure, chaque matin, dans ta boîte mail.
8. Ce que ça dit : l'art de se différencier ou crever
Ce que les autres peuvent en tirer (ou pas)
Tu veux copier Jean Rivière ? Bonne chance.
Tu peux pas copier l’âme.
Tu peux pas copier un mec qui vend ce qu’il pense, pas ce qu’il faut vendre.
Mais tu peux comprendre un truc : dans un monde d’algorithmes, être humain est déjà un positionnement.
Tu peux pas copier ce genre de type.
Tu peux reprendre ses idées, ses structures, même ses silences — mais t’auras jamais sa sueur.
Parce que se différencier, c’est pas un truc que tu fais.
C’est un truc que t’encaisses.
La différence, c’est pas un vernis. C’est une cicatrice.
Tu la construis pas en regardant des tutos sur YouTube ou en lisant un énième livre sur “le personal branding”.
Tu la chopes en refusant.
En disant non.
En creusant au fond jusqu’à trouver ce que t’as à foutre ici.
Le bonhomme, il s’est différencié parce qu’il pouvait pas faire autrement.
C’est ça, le secret.
Il écrivait parce que sinon il étouffait.
Il créait ses formations comme on taille des pierres.
Il vendait sans vendre parce que jouer le jeu l’aurait tué de l’intérieur.
T’appelleras ça “authenticité”, si tu veux.
Mais c’est pas le bon mot.
Le bon mot, c’est : nécessité.
Tu veux sortir du lot ?
Commence par te taire.
Écoute ce que t’as à dire quand y a plus personne.
Fais-le sans chercher l’effet.
Et si ça mord pas, recommence.
Mais pas autrement : plus profondément.
Se différencier, c’est pas briller.
C’est persister, tête baissée, pendant que les autres dansent sur TikTok.
C’est écrire, parler, créer, comme si t’étais le dernier vivant dans une ville éteinte.
Et peut-être qu’un jour, on lira ce que t’as fait.
Et on saura que c’était toi.
Pas un écho.
Pas un énième clown.
Toi.
FAQ (Foutue Avalanche de Questions
C’est qui ce Jean Rivière, au juste ?
Un mec qui a bossé pendant que les autres faisaient des carrousels LinkedIn sur "l’alignement".
Il a pondu plus de 400 formations, tout seul, sans stagiaire, sans story Instagram.
Et il a quitté la scène sans demander l’avis de personne. Pas pour fuir. Pour respirer.
Pourquoi on parle de lui comme d’un exemple ?
Parce qu’il s’est différencié sans inventer un personnage.
Pas de cape de super-coach, pas de storytelling bidon.
Juste un type qui écrivait ce qu’il pensait, et qui vendait sans racoler.
Ça, c’est rare. Trop rare.
Mais il vendait quand même, non ?
Oui. Et sans t’enfermer dans un tunnel, sans faux compte à rebours, sans promesse de liberté en 3 clics.
Il te tendait une formation comme on te file une clope : "Tiens, si t’en as besoin, prends-la."
Et le clash avec Antoine BM, c’est pas un peu mesquin ?
C’est humain. Quand t’as sué pour construire une voix, tu reconnais l’écho des imitateurs.
Le vieux lion a grogné. Le jeune loup a grincé.
C’est pas beau, mais c’est vrai.
Et ça vaut mille fois les "partenariats bienveillants".
Il a tout arrêté parce qu’il en avait marre ?
Non. Il a arrêté parce qu’il en avait fait le tour.
Il ne voulait pas devenir un zombie de son propre contenu.
Alors il a fermé la porte, pris un carnet, et est allé écrire ailleurs.
C’est pas de la fatigue. C’est de la lucidité.
Est-ce qu’on peut faire pareil ?
Mais faudra bosser. Creuser. Taire le bruit. Et cracher ton truc à toi. Pas celui du voisin.
Tu peux pas copier l’intégrité. Tu dois la mériter.
Pour explorer toutes les facettes de cette étape, retour à la page principale de l’Étape 5