🥃 Version gueule de bois, en bref quoi !

✂️ Résumé pour les pressés

Les gens en ont marre de tes PDF.
Ils veulent du cash, du cru, du qui respire.
Si ton lead magnet ne teste pas l’engagement dès la première seconde, t’es juste en train de ramasser du vent.
Voici comment arrêter de jouer au gentil marketeux et commencer à faire le tri entre les touristes et les clients potentiels.

Cet article s'inscrit dans l'étape 4 du parcours de la visibilité.


Ecouter plutôt que lire ? 4 minutes

Sommaire détaillé

Introduction : « La gueule de bois du gratuit »

J’ai vu des tas de marketeurs filer des eBooks comme d’autres filent des clopes à des inconnus dans la rue.
Tu tends un PDF, ils prennent, ils partent, ils l’ouvrent jamais.
Et toi tu restes là, à te demander pourquoi ton business ressemble à une salle d’attente vide.
Les lead magnets, aujourd’hui, c’est comme les promesses de campagne : tout le monde s’en fout, sauf ceux qui veulent t’exploiter.

Partie 1 : Le cirque est terminé – Les PDF ne font plus bander personne

  • Trop de bruit, trop de promesses, trop de poubelles numériques.
  • Si ton contenu gratuit ne pique pas un peu, il ne vaut rien.
  • La boîte mail est devenue un cimetière à intentions.
  • Citation imaginaire de Bukowski : “Si ça ne fait pas saigner un peu, c’est pas de l’écriture. Si ton lead magnet fait pas tiquer, c’est du spam poli.”

🧯 Objectif : désacraliser le lead magnet comme outil d’entrée automatique.


Partie 2 : Ce qu’on veut maintenant : du frisson, pas du formulaire

  • Le cerveau de l’acheteur est gavé, immunisé, blindé.
  • Il ne clique plus, il te jauge.
  • Ton seul espoir ? Créer une mini-claque émotionnelle.
  • Pas besoin de miracle, mais d’un angle brut : “Voici comment t’as perdu 134 clients sans le savoir.”

🪓 Objectif : rappeler que l’émotion, le risque et le vrai filtrent mieux qu’un formulaire en 8 champs.


Partie 3 : Teste-les ou laisse-les crever dehors

  • Un bon lead magnet aujourd’hui, c’est un test de QI entrepreneurial.
  • Pose une question difficile.
  • Demande un effort.
  • Donne une épreuve initiatique.
  • S’ils décrochent ? Tant mieux. Tu ne voulais pas d’eux.

🧨 Idée disruptive : un lead magnet = un rite de passage.

“Tu veux entrer ? Frappe à la porte et explique pourquoi. Sinon, va t’inscrire ailleurs.”

Partie 4 : Quelques formats qui cognent (et que tu peux voler)

  • Le quiz qui pique : "T’es vraiment prêt à te lancer ? Ou t’attends que ta mamie te donne sa bénédiction ?"
  • Le défi sans pitié : "3 jours pour faire ce que t’as pas fait en 3 mois. Sinon, oublie-moi."
  • Le contenu à débloquer : "Tu veux l’info ? Gagne-la."
  • Le bonus exclusif par DM : "Envoie-moi ‘BOOM’. Si t’as peur de ça, t’as pas le mental pour bosser avec moi."

🪚 Objectif : offrir des alternatives crues et mémorables.


Partie 5 : Tu n’as pas besoin de plus d’emails. Tu as besoin de plus de vérité.

  • Mieux vaut 10 gens qui répondent à un test qu’une liste de 1 000 qui t’ignorent.
  • Le bon prospect se montre dès le premier clic.
  • Le bon marketeur se fout d’être aimé : il veut être respecté.
“Un vrai lead magnet, c’est pas un bonbon. C’est un poing tendu. Tu le saisis, ou tu recules.”

Conclusion : Arrête de vendre du sucre. Vends une secousse.

  • Le monde est saturé de “gratuit”.
  • Offre une épreuve.
  • Sois le mur contre lequel les vrais viennent rebondir.
  • Et quand ils restent, là seulement tu leur offres ton feu.

🔥 Bonus : Un call-to-action qui tue

Tu veux tester un lead magnet qui trie les touristes des vrais clients ?
Viens vivre l’expérience. C’est pas pour tout le monde, et c’est très bien comme ça.
👉 une expérience filtrante: https://forum.diruptif.co

C'est parti !


Introduction : La gueule de bois du gratuit

J’ai vu passer plus de PDF qu’il n’y a de mégots collés sous les tables d’un rade mal lavé.

Et crois-moi, j’en ai vu des rades.

Le lead magnet, ce vieux truc qu’on filait pour choper un email comme on jette un os à un chien affamé, a fait son temps. Aujourd’hui, les gens le flairent à dix kilomètres. Ils sentent l’embrouille, la tentative de séduction marketing, le faux cadeau enrobé de tracking.

Tu veux leur email ?
Ils te répondent par une adresse jetable, un clic désabusé, et un “désabonner” dans la minute.

Toi, tu vois un prospect.
Eux, ils voient un piège à pub. Une perfusion de bullshit automatisé.
T’as bossé trois jours sur un guide que personne ne lira. T’as mis des icônes, des flèches, un titre sexy avec des verbes d’action…
Mais personne n’agit.

Parce que ton lead magnet, comme ton ex, a un problème : il n’a plus de mystère.
Plus de mordant.
Plus de panache.

C’est un gentil PowerPoint transformé en PDF, sans tripes, sans épreuve, sans risque.
Et les gens, même paumés, veulent au moins un frisson.

Alors voilà où on en est :

  • Les listes grossissent avec des gens qui s’en foutent.
  • Les taux d’ouverture tombent comme les bières un lendemain de cuite.
  • Les marketeurs pleurnichent dans leurs dashboards.

Et si c’était une bonne nouvelle ?
Si on arrêtait de courir après des adresses email comme des mendiants numériques ?
Et si on recommençait à mériter l’attention ? À tester les gens au lieu de les supplier ?
À créer une putain d’expérience qui leur donne envie de rester ?

C’est ça qu’on va voir.
Pas une méthode. Pas une checklist.
Un changement de posture. Une ligne de rupture.

Prépare ton whisky.
On passe à autre chose.


Partie 1 : Le cirque est terminé – Les PDF ne font plus bander personne

« Qu’est-ce qu’un bon lead magnet ? »

C’est la question qu’on se pose encore comme on demanderait qu’est-ce qu’un bon vin ?
Réponse honnête ?
Celui que tu n’oublies pas.
Celui qui t’allume quelque part dans le bide.
Celui qui te gifle ou te rassure, mais qui fait quelque chose.

Sauf que ce n’est pas ce que je vois.

Ce que je vois, c’est des “guides gratuits de 14 pages” sur des sujets que même ChatGPT bâclerait un mardi soir.
Je vois des eBooks alignés comme des flyers dans les boîtes aux lettres, même pas ouverts, jetés avec le reste des spams.

Quels sont les types de lead magnets les plus performants ?
On y répond encore en listant des checklists, des templates, des mini-formations.
Mais c’est du contenu tiède pour audience anesthésiée.
Tu ne convertis pas avec un outil. Tu convertis avec une secousse.

Les marketeurs d’aujourd’hui (ou du moins ceux qui ont encore un peu d’âme), te balancent des hacks, des frameworks, des visuels Canva “à fort taux de conversion”.
Mais la vérité, c’est que le taux d’attention du public est plus bas que celui d’un pigeon bourré.
Et tu veux leur vendre un tunnel ? Avec un bonus ? Sérieux ?

Tu te demandes encore “qu’est-ce qu’un lead magnet” ?
Je vais te le dire.
C’est un test.
Un test de curiosité.
Un test de motivation.
Un test de respect.

C’est pas un cadeau. C’est un filtre.
Tu ne donnes pas, tu proposes un passage.

Et s’il n’y a pas de friction, il n’y a pas de valeur.
Un bon lead magnet, c’est comme un mot de passe dans un club privé :
“T’es des nôtres, ou tu dégages.”

Alors tu veux savoir ce qui fait un bon lead magnet ?
Pas un contenu “utile”.
Pas un titre “accrocheur”.
Pas un design “pro”.

Un bon lead magnet, aujourd’hui, fait fuir les mauvais prospects et donne de la fièvre aux bons.
Il n’explique pas. Il provoque.

Tu ne vendras rien avec un guide “5 astuces pour…”
Mais tu peux tout changer avec un “Tu ne feras jamais X si tu ne règles pas Y – viens, je te montre, mais ne reste pas si t’as pas de tripes.”


Partie 2 : Ce qu’on veut maintenant : du frisson, pas du formulaire

Alors, comment créer un lead magnet ?

C’est simple : tu arrêtes de penser comme un gentil.

Tu veux que ça marche ? Crée un truc que toi-même tu ouvrirais à 3h du mat, seul, un peu perdu, un peu bourré, mais toujours en quête de sens.

Pas un guide.
Pas une fiche.
Pas un putain de bonus téléchargeable qui sent la naphtaline.

Non. Ce qu’on veut maintenant, c’est un déclencheur.

Un truc qui te colle une question dans le crâne. Qui te fait dire :

“Putain… c’est vrai, ça.”

Tu veux créer un lead magnet qui attire encore en 2025 ?
Fais pas un document.
Fais un battement de cœur.
Une expérience minuscule, mais mémorable.


🛠️ Exemple brut :

Tu peux poser une seule question à ton prospect :

“Qu’est-ce que tu vas rater cette année si tu continues comme ça ?”

Et derrière, tu balances une vidéo de 90 secondes, tournées à l’iPhone, sans script, avec un plan.
Pas un “tunnel”.
Pas un “funnel”.
Un putain de tremplin.


Et si tu demandes encore :

Comment choisir le bon lead magnet pour mon entreprise ?

Demande-toi plutôt :

  • Qui t’as envie de repousser ?
  • Qui t’as envie d’aimanter ?
  • Et quel genre de choc va les réveiller ?

Parce que l’idée n’est pas de capter.
C’est de faire vibrer.
Et si ça vibre pas, ça clique pas. Et si ça clique pas, c’est pas à cause de la couleur de ton bouton, hein.


Les gens n’ont plus besoin de PDF.
Ils ont besoin de pertinence, d’immédiateté, de friction choisie.
Ils veulent que tu parles de leur nuit blanche, de leur rêve abandonné, de leur projet qui stagne.
Ils veulent que tu sois l’électrochoc, pas le conseiller en mobilier de bureau.

Alors crée moins. Vise plus juste.
Et ne cherche pas à plaire. Cherche à réveiller.


Partie 3 : Teste-les ou laisse-les crever dehors

Tu veux savoir comment mesurer le succès d’un lead magnet ?

Spoiler : c’est pas le nombre d’emails.

C’est le nombre de gens qui :

  • ouvrent,
  • répondent,
  • agissent,
  • te parlent,
  • te remercient (ou t’envoient bouler parce que t’es allé trop loin).

Tout le reste, c’est de la gonflette.
De la vanité marketing en costard Zara.
Des dashboards bien propres qui ne veulent rien dire parce que ta liste est morte-née.

Tu mesures un bon lead magnet comme tu mesurerais un bon bar :

Combien restent jusqu’à la fermeture ?
Combien t’en redemandent sans que tu les relances ?

Et pendant qu’on y est, les pièges à éviter ?
Allons-y :

❌ Piège n°1 : Le contenu tiède

Une "astuce", une "checklist", un "mini-guide"...
Tu ne déclenches pas une action avec du tiède. Tu déclenches une sieste.

❌ Piège n°2 : Le formulaire façon interrogatoire de police

8 champs à remplir, comme si t’embauchais un stagiaire.
Tu veux savoir leur numéro de SIRET aussi ? Tu veux leur groupe sanguin ?
Réduis. Simplifie. Va droit au but.

❌ Piège n°3 : Le faux cadeau, vrai chantage

“Je t’offre ce truc… mais seulement si tu me donnes ta vie privée.”
Les gens ne sont pas idiots. Ils sentent l’odeur de l’entonnoir commercial à des kilomètres.
Et ils te mettront une fausse adresse pour le plaisir de t’arnaquer en retour.


🎯 Ce qu’il faut faire : les tester. Vraiment.

Un lead magnet n’est pas un attrape-mouche, c’est un rite de passage.
Un mur à franchir. Une flamme à traverser.

Tu veux savoir qui est prêt à bosser avec toi ?
Fais-leur faire quelque chose.
Pose-leur une question difficile.
Demande-leur un choix. Un engagement. Un retour.

Et s’ils décrochent ? Tant mieux. T’as filtré.
Tu ne vends pas des t-shirts. Tu vends du changement.
Et le changement, ça commence pas avec un PDF à lire plus tard.

“Dis-moi ce que t’as fait avec ce que je t’ai envoyé — sinon, t’as rien à faire ici.”

⚖️ Mesure ce qui compte :

  • Combien ont cliqué ?
  • Combien ont répondu à un message de suivi ?
  • Combien ont réservé un appel ?
  • Combien ont envoyé un message non sollicité pour dire merci ?

C’est ça, les vrais chiffres.
Les vrais signaux.
Le reste, c’est des clics morts sur des mails fantômes.


Partie 4 : Quelques formats qui cognent (et que tu peux voler)

On te l’a dit, répété, enrobé dans tous les styles de newsletters :
ton lead magnet ne doit plus informer. Il doit réveiller.

Tu veux des idées ? Des vraies ? Pas des lubies de consultant en PowerPoint ?

Tiens. Sers-toi. Mais attention : ça pique.


🧠 1. Le quiz à révélations brutales

“Découvre ce que tu fais de travers (et ce que ça t’a déjà coûté).”

Pas un quiz Disney avec des couleurs de chakra.
Un quiz qui fout le nez du lecteur dans sa propre inertie.
3 à 5 questions max. Pas pour divertir. Pour trier.
À la fin ? Un verdict qui coupe le souffle ou donne envie de tout cramer.

💡 Taux de conversion ? On s’en fout. Taux d’introspection ? 100%.


🔥 2. Le challenge express sans filet

“3 jours. Une action par jour. Tu fais ou tu fuis.”

Pas de replay. Pas d’excuse.
Tu veux du monde engagé ? Propose-leur une micro-transformation.
Jour 1 : tu poses le vrai problème.
Jour 2 : tu leur fais faire un pas.
Jour 3 : tu leur balances la vérité.

🎯 Ceux qui tiennent jusqu’au bout sont prêts à acheter. Les autres ? Next.


🚪 3. Le contenu à débloquer façon “porte secrète”

“Tu veux la suite ? Tu dois demander.”

Tu montres 20%, tu caches 80%.
Et pour avoir le reste, faut taper à la porte.
Littéralement : “Envoie-moi le mot-clé CODE NOIR par DM.”
Tu veux tester l’envie ? Observe combien osent vraiment cliquer.
Tu veux créer du lien ? Réponds à chaque demande, à la main.
Oui, à la main. Parce que c’est là que commence la tribu.


🎯 4. Le manifeste provocateur

“Voici ce que je crois. Si tu n’es pas d’accord, t’es pas mon client.”

Tu n’as rien à vendre ? Parfait.
Vends ta vision. Ton ton. Ton tranchant.
Offre un PDF de 2 pages. Oui, 2 pages.
Pas plus. Mais ça doit cogner.
Et à la fin : “Tu veux bosser avec un gars qui pense comme ça ? Donne ton mail. Sinon, salut.”


💌 5. L'email unique. L’anti-séquence.

“Pas d’auto-répondeur. Pas de tunnel. Un seul mail, mais tu vas t’en souvenir.”

Tu crées une landing page avec un formulaire.
Une seule promesse. Une seule balle dans le chargeur.
Le mail contient une révélation, un gros mot, une claque, une histoire vraie, une leçon.
Pas de suite. Juste un impact.

Et tu mesures : qui te répond ? Qui partage ? Qui veut plus ?


BONUS (réservé aux intrépides) : Le lead magnet inversé

Tu n’offres rien.
Tu dis juste :

“Je te donne quelque chose, mais d’abord prouve-moi que tu le mérites.”
“Dis-moi pourquoi je devrais t’envoyer ce contenu.”

Tu reçois 90% de silence.
Et 10% d’or.


Tu veux que ça marche ?
Fais moins.
Fais plus couillu.
Fais du magnétisme. Pas du marketing.


Partie 5 : Tu n’as pas besoin de plus d’emails. Tu as besoin de plus de vérité.

Tu crois que ton problème, c’est le volume.
Tu veux “plus d’emails”, “plus d’abonnés”, “plus de leads”.

C’est mignon.

Mais ton vrai problème, c’est le vide.
Le vide dans les yeux de ceux qui te laissent leur mail sans jamais te lire.
Le vide dans tes statistiques quand tu les regardes en te demandant pourquoi t’as 3000 inscrits et 0 ventes.

Ce n’est pas de quantité dont tu manques.
C’est de vérité.
Celle qui gratte. Qui claque. Qui fait dire à quelqu’un :

“Putain, ce mec-là, il dit ce que j’osais pas penser tout haut.”

Tu veux des clients ? Commence par être clivant.
Pas pour provoquer.
Pour filtrer.

Les meilleurs leads magnets que j’ai vus ces 12 derniers mois…
n’avaient aucun logo,
aucune cover léchée,
aucun bouton optimisé.

Ils avaient une voix.
Un point de vue.
Une exigence.


Tu crois que l’email, c’est le Graal ? Non.
L’email, c’est la première porte.

Ce qui compte, c’est ce qui se passe après qu’ils l’ouvrent.

Et ce qui se passe, souvent, c’est rien.
Un message de bienvenue tout droit sorti d’un template.
Une séquence fade comme du thé oublié.
Un contenu mou pour des gens absents.


Ce que tu dois viser ?

  • Moins d’emails.
  • Mais plus d’ouverture viscérale.
  • Plus de “wow”.
  • Plus de “ça, je vais le forwarder à mon pote.”
  • Plus de “merde, je me sens concerné.”

Pas plus de numéros sur ta liste.
Plus de traces laissées dans la tête des gens.

Tu veux vendre ? Crée des frissons.
Tu veux marquer ? Raconte la vérité que personne ne veut voir.
Tu veux durer ? Écris comme si c’était la dernière chose qu’on allait lire de toi.


Parce qu’au bout du compte, tu ne vends pas un produit.
Tu vends un choc.
Tu vends un changement de perspective.
Tu vends un “putain, je ne l’avais jamais vu comme ça.”

Et pour ça, t’as pas besoin d’un lead magnet.

T’as besoin d’une putain de conviction.


Conclusion : Arrête de vendre du sucre. Vends une claque.

Tu veux encore créer le lead magnet parfait ?
Tu veux optimiser ton “taux de conversion” ?
Tu veux flatter les algorithmes en troquant ton feu contre des petits graphiques verts dans ActiveCampaign ?

Fais-toi plaisir. Mais t’étonne pas si personne ne revient.

Parce que la vérité, c’est que les gens n’ont plus faim de contenu.
Ils ont faim de sens, de tension, de miroir.

Ils n’ont pas besoin d’un PDF.
Ils ont besoin d’un putain de signal.
Clair. Brut. Non négociable.

Et ce signal, il ne sortira jamais d’un tunnel aseptisé ou d’un eBook avec 7 sous-titres H2 et une checklist finale.


Tu veux vraiment marquer ?
Alors arrête de sucrer tes mots pour ne pas heurter.
Heurte.
Réveille.
Secoue.

Fais de ton lead magnet un cri de guerre.
Une arme blanche dans un monde de mousse.
Un filtre à touristes, pas un piège à clics.

Et surtout : ne t’excuse plus de faire le tri.
Ceux qui restent — malgré le ton, malgré la friction, malgré la vérité —
ceux-là sont prêts.

À lire.
À suivre.
À bosser.
À acheter.

Les autres ? Qu’ils retournent cliquer ailleurs.


🔥 Call-to-action final (dans le ton) :

Tu veux un exemple de lead magnet qui trie les tièdes comme un videur à l’entrée d’un club privé ?

Clique ici. Mais sache un truc :
si tu ne lis pas jusqu’au bout, on ne se reparlera plus.
Je ne veux pas ton email.
Je veux ta décision.

👉 un contenu-filtre


FAQ

“Mais alors… je fais quoi si je n’ai pas de communauté ?”

Commence par créer quelque chose que même toi tu aurais envie d’ouvrir.
Pas besoin d’une communauté. Besoin d’un angle clair et d’un ton assumé.
Le bruit attire les curieux. La vérité attire les gens prêts.
Une personne qui clique pour de vrai vaut plus que 100 abonnés fantômes.

“Tu dis qu’il faut tester les gens… Mais si je les fais fuir ?”

Parfait.
S’ils fuient à l’entrée, imagine ce qu’ils t’auraient coûté après 5 mails, un appel découverte et 2 semaines de tergiversation.
Un bon lead magnet fait fuir les mauvais clients.
C’est pas une perte. C’est un gain de temps.

“Ça veut dire que les freebies ne marchent plus du tout ?”

Ils peuvent encore marcher… s’ils font autre chose qu’informer.
S’ils provoquent, questionnent, secouent.
Un “bonus” sans effet est une distraction.
Un “cadeau” qui crée une prise de conscience devient une arme.

“Et le taux de conversion dans tout ça ?”

Taux de conversion de quoi ?
D’un faux mail vers un eBook jamais lu ?
Si tu veux jouer avec les chiffres, joue.
Mais si tu veux des clients qui payent, qui suivent, qui te respectent :
Mesure l’action. L’impact. Le retour.
Pas les clics sans lendemain.

“J’ai peur de trop en faire. Ça va pas paraître agressif ?”

Pas agressif. Sélectif. Franc. Direct.
Et si ça dérange ? Mieux.
La mollesse marketing ne provoque que l’oubli.
La clarté fait écho.
Et l’écho, c’est le début de l’attraction.

“C’est risqué de dire ce que je pense, non ?”

Oui. Et c’est pour ça que presque personne ne le fait.
Mais si tu veux que ta voix perce dans la jungle, elle devra porter loin, pas être polie.
La vraie question c’est : veux-tu qu’on t’aime… ou qu’on se souvienne de toi ?

“Tu proposes quoi à la place, concrètement ?”

Des alternatives avec du cran :

  • Un quiz qui met le doigt là où ça fait mal.
  • Un défi qui fait passer les curieux à l’action.
  • Un contenu caché derrière une demande volontaire.
  • Un manifeste qui dit : “Voici qui je suis. Si t’aimes pas, dégage.”

Tu veux des modèles ? Dis-le. Je t’en file trois, mais pas plus. Le reste, tu le forges avec ta voix.

envie de passer à la pratique ?

Assez joué à chercher sa niche! La niche, c'est Vous.

Je découvre

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