🥃 Version gueule de bois, en bref quoi !

🧷 Résumé pour les pressés (ou les allergiques aux pavés)

Growth hacking ou différenciation stratégique ?
L’un veut faire du bruit, l’autre veut bâtir du sens.
Mais si tu choisis entre les deux, tu perds. Parce que les marques qui durent sont celles qui savent se rendre uniques ET impossibles à ignorer.

Dans cet article, on démonte le faux duel entre tactique et vision.
On te montre pourquoi la croissance fulgurante sans colonne vertébrale, c’est du feu de paille.
Et pourquoi une stratégie brillante mais invisible, c’est de l’art pour ta cave.

Avec des exemples concrets (Tesla, Notion, Patagonia, Duolingo…), un ton qui grince un peu mais qui vise juste, et une bonne dose de lucidité, tu vas apprendre à hacker ton identité autant que ta croissance.

Lis la suite si t’as envie de faire du business avec des tripes et des idées.
Sinon, file… et continue à poster des carrousels vides sur LinkedIn.

Cet article s'inscrit dans l'étape 3 du parcours de la visibilité.


Ecouter plutôt que lire ?

Sommaire

INTRO
1. Ils veulent tous la même chose : capter l’attention dans un monde en overdose.
2. Mais qu’est-ce que le Growth Hacking ?
3. Fond vs Forme : la guerre des clans ?
4. Ce que la stratégie et le hacking ont vraiment en commun : la transgression intelligente
5. Ce que chacun peut apprendre de l’autre (et arrête de faire le malin)
6. Comment marier les deux sans finir schizophrène
ON CONCLUE
FAQ (Foutaises à Questions)


1. INTRO

Le growth hacking, c’est comme un coup d’un soir avec l’algorithme : rapide, sale, et parfois efficace.
La différenciation stratégique, c’est plutôt un mariage arrangé avec ton identité profonde — ça demande du boulot, de l’honnêteté, et parfois, tu t’ennuies ferme avant que le charme agit.

Et devine quoi ? T’as besoin des deux.
Parce qu’au fond, ce que tu veux vraiment, c’est pas juste faire du bruit. Tu veux qu’on t’écoute. Tu veux que ton projet, ton business, ta foutue idée, elle plante un drapeau dans le crâne de quelqu’un et qu’il dise : “Putain, ça, c’est différent.”

Mais voilà.
Soit t’es trop “stratégique” et t’avances à la vitesse d’un escargot sous Xanax.
Soit tu te crois malin avec tes hacks TikTok, mais ton offre est creuse comme un slogan de start-up.

Alors on va faire un truc rare dans ce foutu monde de recettes miracles : on va réfléchir.
Et ensuite, on va foutre le feu intelligemment.

Bienvenue dans la zone grise où la tactique rencontre la vision, où le sale flirte avec le sacré.


1. Ils veulent tous la même chose : capter l'attention dans un monde en overdose

Aujourd’hui, tout le monde gueule plus fort que son voisin.
On vend des formations pour vendre des formations.
On hack des vues, on tord les algos, on crie "regardez-moi !" à un monde qui scrolle comme on boit du whisky bon marché : sans savourer.

Mais que tu sois un moine zen de la différenciation ou un petit dealer de growth hacks, tu veux la même chose que les autres : qu’on te remarque. Qu’on s’arrête. Qu’on dise : “Putain, c’est pas comme d’habitude.”


1.1. Le stratège : il veut qu’on le reconnaisse sans crier

Lui, il joue le jeu long. Il veut qu’on le reconnaisse dans la rue à cause de sa démarche.
Il construit un univers, une voix, un truc qui ne peut pas s’imiter sans son âme.

👉 Exemple : Simon Sinek, le gars qui a vendu du “why” comme d’autres vendent des hot dogs. Il a pas besoin d’hurler. Il dit juste : commence par pourquoi, et les gens le citent comme s’il avait inventé l’éthique.
Il a construit un culte. Pas une tactique.


1.2. Le hacker : il veut que tu cliques avant de réfléchir

Lui, c’est le mec pressé. Il veut de la traction, du clic, du trafic.
Il fout un pétard sous le siège de l’internaute et compte les vues comme un ado compte les likes.
Mais parfois, il tape juste.

👉 Hotmail, par exemple. À l’époque où Internet avait encore une voix de modem, ils ont collé un petit message en bas de chaque email :

“PS: I love you. Get your free email at Hotmail.”

Résultat ? 1 million d’utilisateurs en 6 mois.
Juste avec une phrase de lover maline.


1.3. Les deux cherchent l’étincelle — mais l’un la frotte, l’autre la claque

👉 Glossier, tiens.
Emily Weiss, elle a pas choisi. Elle a tout pris. Une marque avec une esthétique ultra reconnaissable, un ton qui sent la fraîcheur milléniale, ET une armée de micro-influenceuses qui propulsent le truc sur Insta comme si c’était une secte bienveillante pour peaux sensibles.

Elle a bossé l’identité comme un sculpteur, mais elle a balancé ses statues dans la rue avec un mégaphone.


💥 En clair :

Si t’as une offre qui ressemble à un biscuit sec, hacker ça changera rien.
Et si t’as une stratégie sublime mais que t’attends que le monde te découvre tout seul… t’as plus de chances de croiser un panda à Paris qu’un client.

Tu veux qu’on te voie ?
Fais du bruit intelligent. Crée une mélodie. Et frappe juste.


💉 2. Mais qu'est-ce que le Growth hacking

(Et pourquoi ce n’est pas juste un mot-clé sexy pour vendre du vide.)

Quant t'as hacké le système d'évaluation de ta prof

Déjà, c'est pas du piratage illégal de données !

Le growth hacking, c’est pas une baguette magique non plus.
C’est pas non plus un bouton secret sur Instagram qui te file 100K abonnés pendant que tu dors.
C’est surtout pas une excuse pour ne pas bosser ton offre.

Non. Le growth hacking, c’est l’art de tricher proprement.
C’est prendre un raccourci — pas n’importe lequel : celui que personne n’avait vu, parce qu’il est planqué derrière un buisson d’habitudes.

C’est de la croissance, oui, mais avec des coups de génie bricolés. Des détours. Des glitchs dans la matrice.


✂️ Trois règles non officielles du growth hacker (qu’il ne dira pas à sa mère) :

  1. Si c’est légal mais borderline, c’est envisageable.
    (Airbnb qui repostait ses annonces sur Craigslist sans permission ? Un classique.)
  2. Si c’est automatisable, c’est déjà en retard.
    (Les bons hacks meurent dès qu’ils deviennent populaires. C’est du jetable brillant.)
  3. Si ça fait dire “ah ouais, pas con…”, c’est gagné.
    (Pas besoin de coder une fusée. Juste d’activer un levier que les autres n’ont pas vu.)

📈 Exemples concrets (et crades de beauté) :

👉 Dropbox :
Tu gagnes de l’espace si tu invites un pote. Résultat ? Les gens sont devenus commerciaux sans être payés.
Un simple hack de parrainage qui a propulsé la boîte au ciel.

👉 LinkedIn (à ses débuts) :
Tu crées un profil, paf : il s’affiche dans Google.
SEO + ego. Un combo diabolique.

👉 Tinder sur les campus US :
Ils ont envoyé une fille et un mec dans chaque fac, chacun installait l’appli à ses potes du même genre. Résultat ? Chacun trouvait l’autre déjà présent. Magie du faux hasard.


🧪 En résumé :

Le growth hacking, c’est la science du “petit geste, gros impact.”
C’est pas noble, c’est pas stable, mais c’est foutrement malin.
Et quand c’est fait au service d’une vision forte, alors là… ça devient de l’art.


3. Fond vs Forme : la guerre des clans ?

On nous a tellement vendu le mythe du choix à faire entre “stratégie de fond” et “tactiques visibles” qu’on dirait un vieux couple en thérapie de groupe.
D’un côté, t’as le stratège, le mec qui lit Sun Tzu en buvant du thé tiède.
De l’autre, t’as le hacker, speedé, qui veut faire péter les vues avant la fin du week-end.

Mais la vérité ? C’est que le feu a besoin du bois ET de l’étincelle.


3.1. La différenciation, c’est ton squelette.

C’est ce qui reste quand t’as plus de budget pub, plus d’équipe, plus rien à bidouiller.
C’est ton unicité, ta voix, ton angle mort préféré.
Ce qui fait que, même à poil dans un pitch, tu restes inimitable.

👉 Patagonia, par exemple.
Ils te vendent pas des vestes, ils te vendent une position morale : sauver la planète en faisant moins de fric.
Ils disent “don’t buy this jacket” dans leur pub.
Qui d’autre peut faire ça sans passer pour un idiot ? Personne. C’est ça, la différenciation solide.


3.2. Le growth hacking, c’est ton maquillage de rue.

Tu veux qu’on te voie. Tu veux un coup de projecteur, quitte à utiliser une lampe torche volée.
Et parfois, ça suffit à lancer une fusée.

👉 Dropbox, encore.
Un simple hack : “invite un ami, gagne du stockage.”
Mais ce hack a marché parce qu’il servait une promesse claire : "on vous aide à bosser ensemble, facilement."
Pas de trahison entre le fond et la forme. Juste un relais intelligent.


3.3. Les meilleurs hacks, ce sont des actes de marque déguisés.

👉 Notion, par exemple.
Design minimaliste, produit modulaire, communication ultra épurée… et une armée de fans qui créent du contenu à leur place.
Growth hacking ? Oui.
Mais au service d’une esthétique et d’une philosophie produit cohérente.


⚔️ Conclusion du round :

Tu peux être beau sans être vide. Tu peux être stratégique sans être chiant.
Mais si t’es juste joli sans colonne vertébrale, t’es une pub de parfum.
Et si t’es juste profond sans lumière au-dessus, t’es un sous-sol oublié.

Le game, c’est de combiner le style et la structure.
L’ADN qui attire, et le cirque qui déclenche.

Juste après avoir juré de renverser le système… et juste avant de dire “merci maman” pour les coquillettes.

4. Ce que la stratégie et le hacking ont vraiment en commun : la transgression intelligente

À ce stade, faut arrêter de tourner autour du pot.
Le vrai lien entre le growth hacking et la différenciation stratégique, c’est pas la croissance.
C’est pas non plus le marketing.

C’est le culot.

Les deux sont des manières plus ou moins propres de dire :

“Vos règles, on va les plier comme du carton mouillé.”

4.1. La différenciation, c’est dire “non” aux standards

Ce n’est pas “être original”, ce mot usé jusqu’à l’os.
C’est refuser la norme dominante. Décider que tu ne joues pas au même jeu que les autres.

👉 Tesla, par exemple.
Pas de concession. Pas de pub.
Ils foutent leur bagnole dans l’espace pendant que les autres te parlent de taux de leasing.
Stratégie ? Oui. Mais une stratégie qui dégomme les routines de l’industrie à coups de fusées.


4.2. Le growth hacking, c’est jouer avec les failles du système

Tu veux du monde à ta soirée ? Tu passes pas par l’entrée. Tu rentres par la fenêtre des toilettes.
C’est ça, un bon hack.

👉 The Hustle, la newsletter fondée par Sam Parr.
Pas de bullshit, pas de ton corporate. Du texte qui claque, des titres qui giflent, des blagues borderline.
Ils ont hacké LinkedIn avec des posts qui ressemblaient à rien de ce que tu voyais à l’époque.
Et pourtant ? Ça collait à leur ADN. C’était pas du bruit gratuit, c’était du contenu avec des crocs.


4.3. Les deux, c’est de l’art de la friction féconde

Tu veux te différencier ? Tu dois créer une dissonance.
Tu veux hacker la croissance ? Tu dois surprendre, déstabiliser, casser une attente.

Mais attention : pas pour choquer, pour marquer.
Y’a une différence entre un pyromane et un architecte du feu.

👉 Michel & Augustin, à leurs débuts.
Costumes de vache, RP sauvages, packaging à la main... tout pour paraître fous.
Mais au fond ? Une stratégie béton pour faire passer un message :

“On est artisanaux, joyeux, irrévérencieux… et on fait des cookies bien foutus.”

🧨 En résumé :

Différencier, c’est oser la dissonance longue durée.
Hacker, c’est dérégler les réflexes court-circuités.
Mais dans les deux cas, tu dois avoir assez de tripes pour déranger, pas pour plaire.

Parce que l’attention aujourd’hui, c’est pas gratuit.
Faut la voler. Faut la mériter. Et faut qu’elle serve à quelque chose.


🔁 5. Ce que chacun peut apprendre de l'autre (et arrête de faire le malin)

On a tendance à se croire supérieur, selon le camp où on joue.

Le stratège se prend pour un penseur. Il construit des pyramides conceptuelles pendant que le monde s’en fout.
Le growth hacker se prend pour un génie. Il balance des automatisations dans tous les sens, mais oublie que le client n’est pas un pixel cliquable.

Alors qu’en vrai, ils sont tous les deux bancals s’ils ne se causent pas.


5.1. Ce que le growth hacker peut apprendre du stratège

Arrête de courir après l’attention si tu sais pas quoi en faire.

Un hack sans vision, c’est comme un pétard mouillé dans une cathédrale vide.
Ça fait du bruit, mais personne n’est là pour écouter.

👉 Basecamp, par exemple.
Jason Fried, il s’en fout des hacks à la mode. Il a dit non à la croissance agressive.
Mais chaque refus est devenu un acte de com’.

“On ne lève pas de fonds.” → Buzz.
“On ne scale pas.” → Respect.
Parce que ça colle à leur ADN : minimaliste, calme, clair.

Leçon : la cohérence, c’est un levier plus puissant que l’astuce du jour.


5.2. Ce que le stratège doit apprendre du hacker

Arrête de théoriser ta différence si personne ne la voit.

Tu peux pas passer 6 mois à réfléchir à ton “positionnement unique” si, en face, personne ne clique, personne ne mord, personne ne capte ce que tu fous là.

👉 ConvertKit, le SaaS pour créateurs.
Nathan Barry a documenté toute sa galère de lancement.
Il a partagé ses revenus. Ses erreurs. Ses tests.
Tactique ? Oui. Mais qui a servi sa différenciation :

“On est transparents, on est pour les créateurs, on est comme vous.”

Leçon : une bonne stratégie s’incarne en public, pas dans ta tête.


🎭 Le stratège a besoin de rythme.

Le hacker a besoin de colonne vertébrale.

Et si t’as les deux ? Tu deviens un mutant. Un truc rare.
Un entrepreneur qui construit et propulse.
Un artisan du fond qui n’a pas peur du feu d’artifice.


6. Comment marier les deux sans finir schizophrène

Maintenant que t’as compris que stratégie et hacks sont comme deux couteaux dans la même poche — l’un pour sculpter, l’autre pour ouvrir les boîtes trop fermées — faut savoir comment les faire bosser ensemble sans qu’ils se flinguent.

Pas besoin d’un MBA. Juste d’un peu de lucidité et de tripes.

Voici la recette, version brutale :


🔍 Étape 1 : Ancre une singularité claire (ou ferme ta gueule)

Tu veux hacker quoi si personne pige pourquoi t’existes ?
Commence par la base : qui t’es, pour qui, et pourquoi ça compte.

👉 Funky Veggie : des snacks sains qui jouent la carte du fun et de la transparence radicale.
Leur différenciation est tellement lisible que tu pourrais la résumer en un slogan de frigo :

“Si t’as rien à cacher, t’as tout à croquer.”

Pas de singularité ? Pas de hack. Juste du bruit.


💣 Étape 2 : Crée un effet d’étonnement (ou meurs dans l’indifférence)

C’est maintenant que tu dégaines ton growth hack.
Pas pour épater les consultants. Pour créer une secousse dans la routine.

👉 Michel & Augustin, au début.
Costumes de vache. Incrustes dans les grandes écoles.
Ils ont hacké les RP traditionnelles en transformant chaque action en happening.
Pas du bruit random — une prolongation de leur ADN d’“agitateurs du goût”.

Ton hack doit être une version amplifiée de ta différence. Sinon, c’est du maquillage sur un cadavre.


🔁 Étape 3 : Structure une boucle de croissance fidèle à ton ADN

Une fois que ça pète un peu, faut canaliser le feu.
Créer un système qui fait le taf pendant que tu dors (ou que tu bois un whisky bien mérité).

👉 Duolingo, par exemple.
Ton app te notifie comme une ex possessive (“tu vas briser ta série !”),
Mais tout est cohérent : gamification, légèreté, mascotte un peu flippante.
Leur croissance est une extension de leur positionnement : apprendre en s’amusant… et en stressant un peu.

Une croissance qui trahit ton identité, c’est une croissance qui t’échappe.


🧩 En résumé :

  • D’abord, tu trouves ton noyau dur.
  • Ensuite, tu le balances à la gueule du monde, avec un twist qui fait dire “pas con ça.”
  • Et tu rends ça reproductible, sans perdre ton âme dans le processus.

C’est pas un modèle. C’est un état d’esprit.

Un peu punk, un peu moine. Un artisan qui joue avec les câbles électriques.
Et qui, parfois, crée une étincelle qui fout le feu au marché.


Conclusion

Le growth hacking sans différenciation, c’est du feu de paille dans une pièce vide.
Ça crépite, ça attire l’œil, et puis ça crame tout ce qu’il y avait de vaguement crédible.
À l’inverse, la différenciation sans hack, c’est un poème magnifique coincé dans une boîte aux lettres jamais ouverte.
Beau, profond… et oublié.

Tu veux que ça marche ? Tu veux que ça dure ?
Faut allumer le feu… mais avec un bois qui mérite la flamme.

Sois l’entrepreneur qui écrit sa propre règle du jeu et qui la partage dans une langue que le marché comprend.
Fais du sale proprement. Du fond avec de la forme.
Et surtout, sois inimitable, puis visible. Pas l’inverse.


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Pas de bullshit, pas de promesses gonflées.
Juste des idées qui claquent, des stratégies qui mordent, et des outils qui servent à quelque chose.

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FAQ - Foire aux Questions (ou Foutaises à questionner)

Est-ce que le growth hacking, c’est pas juste un mot à la mode pour dire “je triche” ?

Ouais, un peu.
Mais la bonne triche, celle qui fait avancer sans trahir. Pas celle qui te fout des abonnés fantômes ou des faux commentaires.
Le vrai growth hacking, c’est l’art de faire plus avec moins, sans te vendre au diable (ou juste un bras, pas l’âme entière).

Et la différenciation, c’est pas juste “être original” ?

Non. “Être original”, c’est ce que disent ceux qui n’ont pas de fond.
La vraie différenciation, c’est être inimitable, même quand on te copie. C’est pas un costume. C’est ta foutue ossature.

Faut choisir entre les deux alors ? Growth ou stratégie ?

Faut arrêter de vouloir choisir.
Tu veux de la visibilité et de la solidité ? Alors fais bosser les deux.
La stratégie, c’est le squelette. Le growth, c’est le show. L’un sans l’autre, c’est soit un cadavre bien pensé, soit un pantin qui s’agite pour rien.

Et si je suis nul en stratégie et en hacking ?

Alors t’as deux choix :

  1. Apprends. Y’a des outils. Des cerveaux. Des idées comme celles de cet article.
  2. Sois radicalement honnête, humain, présent. Parfois, la meilleure stratégie, c’est de dire la vérité quand plus personne n’ose. Et ça, c’est déjà un sacré hack.

Est-ce que tout ça marche aussi si je suis coach, thérapeute, artiste, ou vendeur de savons ?

Absolument. Parce que l’attention, le positionnement, l’effet de surprise… ça marche que tu vendes des idées, des services ou des galets peints à la main.
Ce qui compte, c’est d’avoir un message clair et un moyen de le faire vibrer chez les autres.
Le reste, c’est de la technique.

C’est pas dangereux d’être trop différent ?

Non, c’est dangereux d’être invisible.
La différenciation n’est pas une prise de risque, c’est une assurance contre la noyade dans la masse.

Y’a un plan d’action quelque part ou faut que je relise tout l’article en prenant des notes ?

Lis l’article, ou relis-le à moitié. Mais retiens au moins ça :

  1. Clarifie ce qui te rend unique (et réel).
  2. Frappe là où ça fait “tiens, pas vu ça avant.”
  3. Rends le truc reproductible sans devenir chiant.

Le reste, c’est du style. À toi d’écrire le tien.

Pour explorer toutes les facettes de cette étape, retour à la page principale de l’Étape 3

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