🥃 Version gueule de bois, en bref quoi !

Tu te dis multipotentiel ? En vrai, t’es juste paumé sans carte.
T’as des idées plein la tête, mais zéro trajectoire.
Cet article démonte le mythe flatteur du slasheur éparpillé
et te file une vraie boussole pour canaliser ton feu sans l’éteindre.
Moins de flou, plus d’impact.

🎯 À lire si tu veux redevenir magnétique sans te couper en morceaux.


Ecouter plutôt que lire ?


Sommaire

1 – Le mythe séduisant de la multipotentialité
2 – Ce que cache réellement cette dispersion
3 – Ce qu’il te faut : une putain de carte, pas une nouvelle idée
4 – Cas concrets et punchlines
CONCLUSION – Ce n’est pas ton feu qu’il faut éteindre. C’est ton brouillard qu’il faut percer.
🧨 FAQ

🔥 INTRO – Bienvenue dans le club des créateurs brillants… qui tournent en rond.

Tu crois que t’es multipotentiel.
Moi, j’dis que t’es surtout fatigué de tourner en rond avec élégance.

T’as un carnet à idées qui pèse le poids d’un dictionnaire.
Des post-its sur ton frigo, ton miroir, ton chat.
Une to-do list qui déborde comme un caddie un jour de promo,
et pourtant t’as toujours l’impression de faire du sur-place, la gueule dans le vent.

Tu t’es trouvé une étiquette rassurante : multipotentiel.
Ça sonne bien. C’est chic.
Ça fait “je suis trop vaste pour rentrer dans vos petites cases”.
Mais en vrai ?
T’as pas besoin d’une étiquette.
T’as besoin d’un foutu plan.

Parce qu’à force d’avoir mille élans, t’as plus aucun point d’impact.
T’es un feu d’artifice sans gravité.
Ça pétille… mais ça retombe toujours sans trace.

Tu veux créer, impacter, vibrer ?
Commence par sortir de ce labyrinthe mental où t’as foutu des miroirs à chaque coin.
On va parler de carte.
De cap.
De clarté.
Mais t’inquiète, pas du genre tableau Excel ou méthode militaire.
On va causer comme on tape du whisky sur le comptoir :
Cash, précis, et avec un putain de goût de vrai.

Allez.
On entre dans le dur.

Cet article s'inscrit dans l'étape 1 du parcours de la visibilité.


1 – Le mythe séduisant de la multipotentialité

1.1. Quand “multipotentiel” devient une étiquette-radar

T’as découvert le mot “multipotentiel” un jour où tu flottais dans un énième trou existentiel sur YouTube.
Ça t’a fait l’effet d’un shot de reconnaissance :
“Bordel… je suis pas dispersé. Je suis un être complexe. Un putain d’orchestre à moi tout seul.”

Et ouais.
On est quelques millions à avoir pensé la même chose.
Bienvenue au club des violonistes qui n’ont jamais fini une partition.

Le mot est beau. Il sonne intelligent.
Mais c’est surtout un excellent alibi pour pas choisir, pas finir, pas incarner.
Un radar inversé : il bippe dès qu’un projet t’excite… puis il s’éteint dès qu’il faut tenir la note.


1.2. Tu n’es pas multipotentiel, tu es multi-dispersé

Tu dis que tu peux faire mille choses. C’est vrai.
Mais si je regarde ton site, ton Insta, ton lien bio... j’vois un patchwork conceptuel sous acide.
Un jour t’es graphiste, le lendemain mentor spirituel, le surlendemain tu fais des huiles essentielles alignées avec ton design humain.

Résultat ?
Personne pige ce que tu vends.
Et surtout, personne achète.
Parce qu’un message flou, c’est comme un shot de vodka dans une flaque d’eau : ça n’embrase rien.

T’as pas besoin de renier tes talents.
T’as besoin de leur donner une putain de structure.
Pas une prison. Une scène.


1.3. Le piège du label flatteur

“Multipotentiel”, ça flatte ton égo, comme un badge collé sur une veste trouée.
Ça te fait croire que le problème, c’est les autres qui ne comprennent pas ta richesse.
Mais en vérité, c’est toi qui ne sais plus ce que t’es en train de raconter.

T’es un roman sans quatrième de couverture.
Une série Netflix sans synopsis.
Un stand au marché où il n’y a ni nom, ni prix, ni vendeuse.
Juste des objets jolis posés là en silence.

T’es pas trop tout.
T’es juste pas canalisé.
Et si personne ne s’arrête, ce n’est pas parce que t’es nul.
C’est parce que t’as oublié d’être lisible.

Plan d’action : courir, paniquer, répéter.

2 – Ce que cache réellement cette dispersion

2.1. Le manque de cap stratégique

Faut dire la vérité : t’avances comme un GPS qui a sniffé de la colle.
Tu prends une route, puis une autre, tu reviens au point de départ, tu ouvres une nouvelle carte…
Et au final, t’as fait 143 kilomètres mentaux. À pied. Dans ton salon.

La vérité, c’est que t’as pas de cap.
Pas de “putain de pourquoi” qui t’arrache du lit le matin.
T’as des idées. Des belles. Des stylées.
Mais aucune architecture derrière.
T’es une cathédrale sans fondation. Une fusée sans trajectoire.

Et tu sais quoi ?
Même un feu sacré, mal orienté, finit par cramer la baraque.


2.2. L’absence de structure mentale

Tu crois que poser un cadre va tuer ta créativité ?
C’est l’inverse.
Un cadre, c’est pas un cercueil. C’est un conteneur pour ton chaos.
Un putain de bocal pour ton orage.

Mais non.
Toi, tu refuses.
Tu préfères le freestyle existentiel.
Tu te dis que t’es “dans le flow”, alors qu’en vrai, t’es dans la flaque.

Résultat ?
Tu bosses 12 heures pour 2 likes, un doute existentiel, et une fatigue qu’un mojito ne soignera pas.
Et le pire, c’est que tu continues, convaincu que c’est noble de souffrir “pour ton art”.

Newsflash, mon pote :
La noblesse créative, c’est pas le bordel.
C’est la clarté qui fend la foule comme une lame.


2.3. La peur de choisir (et donc d’exister)

Choisir, c’est flippant.
Parce que choisir, c’est se montrer.
C’est dire : voilà ce que je porte. Voilà ce que j’incarne.

Mais t’as peur.
Peur de te planter. Peur de pas plaire. Peur que ça soit pas “assez”.

Alors tu fais comme au resto quand t’oses pas :
Tu prends une assiette mixte.
Un peu de tout.
Et au final… t’as rien savouré.

Le problème, c’est pas ton cerveau. C’est ton absence de décision.
Et tant que tu choisis pas ton rôle, tu restes figurant dans ta propre histoire.


3 – Ce qu’il te faut : une putain de carte, pas une nouvelle idée

3.1. La Boussole Créative

(spoiler : c’est pas une appli, c’est une décision)

T’as pas besoin d’un énième tableau Notion.
T’as besoin d’un foutu nord.

Choisis 3 projets max.
Pas 14. Pas “en fonction de l’énergie du moment”. Trois.
Les trois qui comptent.
Ceux qui alignent ta flamme et ta faim.
Ceux qui te font transpirer un peu, mais sourire aussi.

Et pour les autres idées ?
Tu les notes.
Tu les remercies.
Tu les remballe gentiment dans un carnet.

Crois-moi :
Les idées qui résistent au temps reviennent avec une gueule encore plus sexy.


3.2. Le Carnet des Non-Priorités

(a.k.a. Le cimetière provisoire des idées brillantes mais pas maintenant)

Tu veux pas renoncer. Je te comprends.
Alors note tout. Absolument tout.
Les projets, les slogans, les intuitions à 4h du mat.
Mais surtout… n’en fais rien immédiatement.

Le Carnet des Non-Priorités, c’est ta zone franche.
Un sas de décompression mentale.
Une promesse que ton cerveau peut se reposer,
parce qu’il sait que rien ne sera perdu,
mais que tout ne sera pas foutu en l’air par impatience.

Ce truc simple t’évitera de ruiner ton focus à chaque éclair de génie.


3.3. La Légende Centrale

(c’est pas une niche. C’est une histoire qui te contient tout entier)

T’as pas à choisir entre ta voix, ton tarot, ton copywriting, ton ukulélé et ton coaching quantique.
T’as à raconter le fil rouge qui les traverse.
Le mythe personnel.
La tension sacrée.
La quête qui relie tous tes tentacules en une seule pieuvre légendaire.

Ce n’est pas de la spécialisation.
C’est de la centralisation identitaire.
Un tronc.
Pas des branches qui se barrent dans tous les sens comme des mômes sans goûter.

Ta légende centrale, c’est ce qu’on retient de toi même quand tu changes d’outil.
C’est la cohérence magnétique qui transforme ta diversité en vortex.


4 – Cas concrets et punchlines

T’en veux des preuves ?
En voilà trois. Pas des licornes. Juste des créateurs qui ont arrêté de tourner en rond en se caressant le front.


🎨 Cas 1 : Léa, la “slasheuse” magnifique

Elle faisait du design, de la facilitation, du breathwork, et écrivait des poèmes sur Instagram.
Un jour, elle m’a dit :

“J’ai peur de choisir parce que j’ai l’impression de tuer les autres parties de moi.”

Je lui ai répondu :

“Non. Tu les ranges. Et tu les ressors quand t’as une scène pour chacune.”

On a trouvé sa légende centrale :

Elle crée des espaces qui respirent — visuellement, humainement, intérieurement.
Et là, tout s’est aligné.
Site, discours, offres, vibe.
Pas moins de talents. Juste plus d’ordre dans l’orchestre.

🧰 Cas 2 : Max, le génie sans plan

Il construisait des systèmes d’automatisation de contenu, écrivait des essais sur le temps, et faisait de l’hypnose pour dirigeants.
Un monstre. Un feu roulant.
Mais il vivait dans son Drive comme dans un grenier. Tout était là, rien ne sortait.

On a sorti le carnet des non-priorités.
Puis on a gardé 1 seule offre, alignée avec sa force : Transformer les idées floues en moteurs systémiques.

Résultat :
Il vendait enfin. Et il dormait mieux.


🧙‍♂️ Cas 3 : Toi (bientôt)

T’as pas besoin de devenir quelqu’un d’autre.
T’as juste besoin d’arrêter de croire que tu dois tout faire, tout de suite, sous peine de déchoir.

Et pour ça, je te balance 3 punchlines comme des cailloux dans ta chaussure de procrastinateur illuminé :


🐙 “Tu fais trop de trucs. Et t’as peur de dire lequel est vraiment toi.”

Résultat : personne ne te suit. Même toi, t’as perdu le plan.

🎒 “T’as le sac plein, mais t’as pas le plan.”

Chaque matin, tu sors du lit avec 12 envies. Et tu termines la journée avec une seule certitude : t’as encore rien foutu de vraiment stratégique.

⚡ “T’es pas trop créatif. T’es juste pas câblé pour te rendre lisible.”

Ton audience, elle voit une pluie de couleurs… mais aucun putain d’arc-en-ciel.

CONCLUSION – Ce n’est pas ton feu qu’il faut éteindre. C’est ton brouillard qu’il faut percer.

T’as pas trop d’idées.
T’as trop de virages sans panneau.
T’as pas besoin de calmer ta créativité.
T’as besoin d’un GPS intérieur qui gueule quand tu tournes sans prévenir.

Le chaos n’est pas ton ennemi.
Mais si tu veux qu’il serve, faut le sculpter.

Ta richesse, elle vaut de l’or.
Mais pas en vrac.
Elle vaut quand elle circule. Quand elle transforme. Quand elle touche et qu’elle reste.

Alors pose ton sac. Choisis ta cible. Et trace ta foutue ligne.

Tu veux aller plus loin ?
Pas dans le blabla. Pas dans les grandes théories.
Mais dans le concret, l’opérationnel, le brut de terrain.

🎧 J’ai enregistré un podcast privé, réservé aux têtes dures et aux cœurs brûlants,
où je te détaille pas à pas comment appliquer ce que tu viens de lire :

  • Comment construire ta boussole créative,
  • Comment poser ta légende centrale sans t’amputer,
  • Comment devenir lisible sans devenir lisse.

📌 C’est pas gratuit, parce que ce que je partage dedans,
je le réserve à ceux qui veulent pas juste comprendre,
mais foutre les mains dans le cambouis et avancer.

👉 Accès ici : [Lien vers le podcast privé payant]
(Si t’as peur que ce soit trop intense, c’est sûrement que t’en as besoin.)


FAQ

Mais si je choisis, je vais me couper une partie de moi, non ?

Seulement si t’as décidé que ton identité est un buffet à volonté.
Choisir, c’est pas renier.
C’est structurer.
Tu ranges pas tes talents au placard. Tu les classes. Tu les actives en conscience, pas en panique.

J’ai besoin de me former encore avant de me lancer…

Non. T’as besoin de clarté.
T’as déjà mille idées, trois carnets pleins, cinq programmes en cours.
Ce qu’il te manque, c’est pas une nouvelle formation.
C’est une foutue décision stratégique.
Arrête de lire. Commence à tracer.

Je suis trop créatif pour suivre un plan.

Faux.
C’est parce que t’as jamais eu un plan qui respecte ton feu que tu les rejettes tous.
Un bon plan, c’est pas un tableau Excel en prison.
C’est un exosquelette pour ton chaos.

Comment je sais quelle est ma légende centrale ?

Quand ce que tu dis te fait vibrer, mais surtout que les gens comprennent enfin ce que tu fous.
C’est le fil rouge entre tes projets.
La tension invisible qui donne une cohérence à ton bordel.
Si t’en as pas, t’as pas un business. T’as un jardin d’idées en friche.

Le podcast privé, c’est quoi exactement ?

C’est pas un énième blabla développement perso.
C’est du concret, du brut, du terrain :

  • Comment trouver ta boussole créative
  • Comment poser un plan simple (et non chiant)
  • Comment incarner ta légende centrale
  • Et comment sortir de la brume mentale sans sacrifier ton feu

Et ouais, c’est payant.
Parce qu’y a que ceux qui s’engagent qui transforment.
Clique ici pour y accéder.

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