🥃 Version gueule de bois, en bref quoi !

T’en as marre des formations chiantes comme des sermons du dimanche matin ?
T’en peux plus de vomir du savoir tiède à des zombies qui pioncent debout ?
Bien.
T'es au bon endroit.

Ici, on va te parler du Business Design, pas pour te faire un exposé, mais pour t’apprendre à cogner juste, à briser les murs, et à réveiller les morts.

On va te filer une vingtaine d’idées neuves, concrètes, violentes si besoin, pour que ta formation ressemble enfin à quelque chose qui vit, qui saigne, qui fait bouger les tripes.

T'as le choix :

  • Tu lis,
  • Ou tu retournes bercer ton PowerPoint.

À toi de voir.


Plutôt écouter que lire ?


Intro

Y en a marre.
Marre des formations tièdes comme un café oublié.
Marre des vidéos molles, des modules qui s’étirent comme un vieux chewing-gum sous une semelle.
Marre des "formateurs experts" qui pondent des chapitres à la pelle sans jamais se demander si quelqu’un au bout du fil est encore vivant.

T'as déjà essayé d'apprendre quelque chose d'important quand t'as l'impression que le mec en face lit son powerpoint à voix haute ?
C'est pas de la formation, c’est de la torture douce.

Si t’es là, c’est que t’as compris un truc simple : faut cogner autrement.
Faut sortir du musée des formations mortes.
Faut construire du vivant, du brut, du qui mord et qui laisse des marques.

Ça tombe bien, y a une arme pour ça.
Elle s’appelle Business Design.

Pas un truc pour faire joli.
Pas une théorie fumeuse sortie d’un cabinet de consultants en costard-cravate.
Non.
Juste un art de foutre tout à plat et de reconstruire un truc qui marche vraiment :
qui tape au ventre,
qui fait dire "putain je veux apprendre ça",
qui fait avancer pour de vrai.

Le Business Design, c’est la fin des formations molles.
Et crois-moi, il est temps.


Sommaire

1: C’est quoi ce bordel de Business Design ?
2: Foutez-moi la paix avec vos PowerPoints mous
3: Le chantier - Déconstruire pour reconstruire à la hache
4: Des exemples qui te mettent une droite
5: 21 façons de former sans anesthésier personne.
6: Business Design ou extinction des feux : choisis ton camp
FAQ Féroce


1: C’est quoi ce bordel de Business Design ?

Si t’imagines encore que le Business Design, c’est dessiner des logos ou pondre des PowerPoints en 16/9, t’es à côté de la plaque.
Le Business Design, c’est pas de la déco pour entreprises tristes.

C’est l’art de construire un business comme on construit une bagnole de course :

  • chaque pièce a une foutue raison d’être,
  • rien n’est là pour faire joli,
  • tout doit avancer vite, fort, et tenir le coup quand ça tape dans les virages.

Le Business Design, c’est penser ton projet comme un organisme vivant, pas comme un dossier Excel qui prend la poussière.
Tu cherches pas à faire beau, tu cherches à faire battre un cœur.
Un truc qui respire, qui saigne, qui encaisse les coups et qui se relève.

C’est simple :

  • Tu pars pas de ce que t’as envie de vendre,
  • Tu pars du vide dans la vie des gens,
  • Et tu viens le remplir avec quelque chose qu’ils crèveraient d’envie d’acheter.

C’est du design, ouais.
Mais du design pour vivre.
Pour survivre.
Pour croître dans un monde qui s’en fout royalement de ton égo et de ta "belle idée".

Business Design, ça veut dire :

  • Trouver une vraie douleur,
  • Fabriquer une vraie solution,
  • La vendre comme une promesse de sauvetage,
  • Et construire tout le reste autour, solide comme un poing.

Le reste, c’est de la poésie pour consultants fatigués.


Le business design, c’est l’art de concevoir un modèle d'affaires aussi créatif que stratégique.
En gros, au lieu de créer un produit ou un service et ensuite de chercher comment le vendre, tu penses dès le départ :

  • À qui tu t’adresses,
  • Quel problème tu résous,
  • Quelle valeur unique tu proposes,
  • Comment tu gagnes de l'argent,
  • Comment tu rends ton modèle viable sur la durée.

C’est un mélange entre design thinking (approche créative centrée sur l'humain) et stratégie d’entreprise (comment être rentable et durable).

En résumé : le business design, c’est designer non pas juste un produit, mais tout l'écosystème qui va avec.

2: Foutez-moi la paix avec vos PowerPoints mous

Regarde-moi ce cirque.
Des formations qui s'empilent comme des cadavres dans une arrière-salle.
Des slides chiadés avec trois effets de transition pour masquer le vide sidéral du message.
Des phrases longues comme une attente chez le croque-mort.
Des formateurs qui déroulent leurs trucs pendant que toi, tu t’éteins à petit feu.

Personne ne se réveille à 4h du matin pour une putain de checklist pédagogique.
Personne ne crie "Eurêka !" devant un diaporama de 112 slides intitulé "Objectifs opérationnels par compétences transversales".

Le pire ?
Ces formations molles sont faites par des gens qui croient bien faire.
Ils sont assis là, tout fiers de leurs schémas en camembert, pendant que toi, tu te demandes comment te barrer sans te faire remarquer.

C’est pas du business. C’est pas du design. C’est du remplissage.

Et le remplissage, mon vieux, ça ne vend pas.
Ça n’enseigne pas.
Ça n'inspire pas.
Ça endort, et à la fin, tout le monde s’en fout.

Alors voilà : arrêtez de foutre du PowerPoint sur vos plaies béantes.
Arrêtez de croire qu’une bonne formation, c’est juste "transmettre un contenu".

Une bonne formation, c’est un uppercut.
C’est quelque chose qui :

  • te réveille,
  • te bouscule,
  • te fait voir les choses autrement,
  • te fout dehors avec l’envie de changer le monde (ou au moins ta propre vie).

T'as pas besoin de 112 slides.
T'as besoin d'un feu.
D'un truc qui crépite dans la poitrine.
D'une idée simple mais qui te suit toute ta vie.

Et c’est exactement pour ça qu’on a besoin du Business Design.
Parce qu'avec lui, tu construis pas des formations pour faire semblant d'apprendre.
Tu construis des bombes à motivation massive.

Des trucs dont on reparle dix ans après, entre deux verres.


3: Le chantier - Déconstruire pour reconstruire à la hache

Si tu veux construire quelque chose qui tienne debout,
faut commencer par tout foutre en l’air.
Pas repeindre sur l’humidité.
Pas rajouter des post-it sur un cadavre.

Détruis.
Explose tout ce que tu crois savoir sur la formation.
Les modules bien rangés, les parcours "progressifs", les phrases plates et prudentes que personne n'écoute vraiment.
Prends une hache.
Frappe dans les idées reçues jusqu’à ce qu’il ne reste que la poussière et l’envie.

Ensuite — et seulement ensuite — tu reconstruis.

Mais pas avec les vieilles pierres moisies de la peur et de la facilité.
Tu reconstruis avec :

  • des envies brûlantes,
  • des douleurs vraies,
  • des solutions qui claquent,
  • des formats qui mordent.

Tu veux que ça tienne ?
Alors chaque putain de brique doit être posée pour une raison.
Pas pour remplir l’espace.
Pas pour paraître intelligent.
Juste pour porter. Juste pour avancer.

Tu construis une maison pour des vivants.
Pas un mausolée pour ton égo.

Et si ça veut dire bousiller la moitié de ce que t'as déjà fait,
eh ben, bonne nouvelle : c’est que tu bosses enfin pour de vrai.

As-tu déjà essayé un Live costumé

4: Des exemples qui te mettent une droite

Pas des exemples gentils.
Pas des études de cas écrites par des stagiaires en marketing sous Lexomil.
Non.
Des vrais.
Des cas qui tapent, qui griffent, qui te laissent un bleu quand t’as fini de lire.

Regarde un peu :


ICON PLC – Ceux qui ont arrêté de tendre la sébile

Les types de chez ICON PLC en avaient ras-le-bol de payer des prestataires qui leur refilaient des formations format photocopie.
Alors ils ont fait quoi ?
Ils ont appris à designer eux-mêmes leurs formations au goût de plastique.
Résultat :

  • Plus rapides,
  • Plus libres,
  • Plus vivants.
    Et surtout : plus jamais obligés d'avaler des PowerPoints prémâchés par d'autres.

C'est pas juste de la formation.
C'est de la libération.


Design Sprint – Du sang et de la sueur en 5 jours

Prototypage rapide de formations.

Chez Google Ventures, ils ont pas sorti des formations en kit IKEA.
Ils ont foutu tout le monde dans une pièce pendant cinq jours, avec un objectif simple :
trouver une vraie solution à un vrai problème,
la prototyper,
la tester.

Pas trois mois de réunions.
Pas 432 slides de roadmap.
Cinq putains de jours.
Et ça marche.

Dans le secteur de la formation, cette approche permet :​

  • De tester de nouveaux formats pédagogiques en quelques jours
  • D'impliquer les parties prenantes dans la co-création
  • De réduire les risques avant un déploiement à grande échelle

À méditer pendant que tu planifies ton prochain "séminaire stratégique" de 18 mois.

Design sprint. Source.

Université de Limoges : Quand ils se sont enfin sortis les doigts

À Limoges, ils ont arrêté de roupiller sur les bancs en bois.
Ils ont foutu le nez dans le cambouis : une étude sur les entreprises qui innovent, qui essaient encore de foutre un peu de vie dans l’éducation.

Et qu’est-ce qu’ils ont vu, en creusant sous la rouille ?

  • Que le vrai combat, c’est de se positionner autrement dans ce foutu cimetière d’idées mortes qu’est devenu le champ de l’éducation.
    Pas faire joli. Pas faire comme tout le monde. Se tailler une place avec les dents.
  • Que des contraintes te collent à la peau comme une vieille crasse : réglementations débiles, inerties de mamouths, politiques frileuses. Tu veux innover ? Prépare-toi à saigner.
  • Que pour avancer, faut foutre en place des vrais processus, pas des promesses PowerPoint.
    Du terrain, du sale, du qui claque sous les godasses, pas des plans stratégiques qui dorment dans des tiroirs.
  • Que même la communication, si elle pue la naphtaline, personne n’écoute.
    Le design, c’est pas un vernis pour faire briller la merde : c’est ta voix, ton impact, ta gueule ouverte sur le monde.

Bref, leur étude, elle balance un truc clair :
le Business Design, c’est pas un caprice d’artiste.
C’est une question de survie.
Si tu piges pas comment penser autrement, construire autrement, parler autrement,
t’es déjà mort, et tu le sais même pas encore.


5: 21 façons de former sans anesthésier personne.


Là, on va aller chercher plus loin pour te donner des idées vraiment originales et inventives, dans l'esprit business design créatif.


1. Proposer une formation "à rebours"

➡️ Au lieu de commencer par la théorie, on démarre par un projet concret que l'apprenant doit réaliser tout de suite. La théorie vient après, en fonction de ses besoins réels pendant l'action.

Balance-les direct dans la fosse, et s'ils veulent pas crever, ils apprendront à nager tout seuls.

2. Créer un "Marché de Compétences"

➡️ Chaque apprenant "achète" des micro-formations ou du coaching en utilisant des crédits gagnés par des projets, des quizz ou des challenges internes.

Ici, c’est cash : tu livres une compétence ou tu livres des pizzas.

3. Offrir une "expérience de mentorat inversé"

➡️ Les nouveaux apprenants coachent les anciens sur des projets créatifs (design de solutions, idées neuves), ce qui casse la hiérarchie habituelle et stimule la transmission dans les deux sens.

Fais coacher les vieux par les bleus, et regarde la fierté s’étrangler avec sa cravate.

4. Intégrer des "Cartes Joker" dans la formation

➡️ Les apprenants reçoivent des cartes spéciales qu'ils peuvent utiliser pour : changer un module, avoir un coaching privé, accéder à un bonus exclusif... Cela rend l'expérience ludique et personnalisée.

Distribue des cartes Joker, et regarde-les tricher avec panache au lieu de mourir d'ennui.

5. Gamifier tout le modèle économique

➡️ Plutôt que payer en euros classiques, les participants peuvent payer avec des "XP" (points d'expérience gagnés en formation), des "pièces" à dépenser pour des upgrades, des bonus, des accès anticipés...

Tu veux qu'ils bossent ? Transforme ton business en chasse au trésor.

6. Prototyper les offres de formation en public

➡️ Concevoir vos nouveaux programmes en live devant une audience (par exemple sur YouTube ou lors d'un événement Zoom) pour impliquer votre communauté dans la création du programme.

Prototyper en public, c’est comme cuisiner à poil devant tout le quartier : tu peux pas tricher, alors autant y aller à fond.

7. Créer un abonnement "Netflix de la transformation"

➡️ Un abonnement qui donne accès non pas à un contenu figé, mais à des parcours de transformation adaptatifs : les formations changent chaque mois en fonction de l'évolution du marché ou de la vie pro des abonnés.

Fous-leur un abonnement, change les règles chaque mois, et regarde-les courir comme des hamsters sous acide.

8. Lancer des défis communautaires "pay-if-you-fail"

➡️ L'entrée est gratuite, mais si l'apprenant n'atteint pas ses objectifs, il paie une "amende pédagogique" symbolique. Cela crée une dynamique très forte d'engagement et de responsabilisation.

Fais-leur sentir que foirer, ça a un prix, et ils se bougeront plus vite que pour récupérer leur caution d’appart.

9. Utiliser la fiction immersive

➡️ Concevoir vos formations comme un univers fictionnel : chaque module est une mission, un chapitre d’histoire où l’apprenant est le héros. Cela donne un contexte émotionnel puissant à l'apprentissage.

Plonge-les dans une fiction où ils sont les héros... ou les losers, selon comment ils bossent.

10. Créer un "Musée des erreurs"

➡️ Rassembler et exposer les erreurs commises par vos apprenants (de façon anonyme ou volontaire) pour les transformer en outils d'apprentissage collectif ultra décomplexé et inspirant.

Un musée des erreurs : parce qu’il faut parfois encadrer ses conneries pour arrêter de les collectionner.

11. Créer des "parcours aléatoires"

➡️ L'apprenant pioche des modules au hasard dans une "boîte à outils" pédagogique et construit son propre chemin. Résultat : autonomie + surprise + adaptabilité.

Ils piochent, ils pataugent, ils s'inventent : c’est pas l’école, c’est la jungle.

12. Mettre en place un "Bourse d'Échange de Savoirs"

➡️ Chaque apprenant peut "échanger" des compétences avec d'autres : par exemple, je t'aide à améliorer ta prise de parole, tu m'apprends le mind mapping. Formation communautaire, 100 % vivante.

Échange ton cerveau contre un autre : ici, pas de monnaie, juste des neurones et un peu de fierté.

13. Former en "Format Speed Learning"

➡️ Sessions ultra-courtes (15-20 minutes) sur un seul point clé, suivies d'une mission éclair à réaliser dans les 24h. Pas de blabla, que de l'action.

Apprendre vite ou se faire larguer : ici, t’as pas le temps de poser ta tasse de café.

14. Offrir un "Passeport de Transformation"

➡️ Chaque apprenant reçoit un passeport où il valide des "tampons" (compétences acquises, défis réalisés). Cela rend la progression visuelle, fun et valorisante.

Donne-leur un passeport : qu’ils puissent au moins montrer à mamie qu’ils ont survécu à ta formation.

15. Créer un "Baromètre Émotionnel" en live

➡️ Pendant la formation, les participants indiquent leur état émotionnel (ex : excitation, frustration, flow...) et les contenus s'adaptent en temps réel pour soutenir ou challenger l'énergie collective (27 catégories distinctes d'émotions).

Un baromètre émotionnel, c’est pas pour décorer : c’est pour éviter de former des limaces.

16. Proposer un "Coaching Inversé"

➡️ Après chaque module, c’est l’apprenant qui donne un mini-coaching à un autre. Cela renforce l’apprentissage en forçant à reformuler et transmettre.

Faire coacher les autres par des débutants, c’est comme filer la clé du bar à un ivrogne : au début c’est drôle, après c’est du génie.

17. Utiliser les "scénarios catastrophe"

➡️ Au lieu d’enseigner seulement ce qu’il faut faire, enseignez aussi ce qu’il ne faut surtout pas faire, en faisant vivre aux apprenants des "plantages simulés" qu'ils doivent résoudre.

Balance-leur des scénarios pourris, regarde-les couler, et félicite ceux qui nagent avec les dents.

18. Inventer des "Formations Méta"

➡️ Former vos apprenants à apprendre mieux, plus vite et de façon plus autonome. Une formation qui apprend... à tirer le meilleur de toutes les autres.

Apprends-leur à apprendre : vu comment certains galèrent déjà à lire une notice IKEA, c’est pas du luxe.

19. Créer une "Radio Pirate" de la formation

➡️ Produire des podcasts secrets réservés aux membres, qui donnent accès à des contenus bonus, des interviews off, des confidences de parcours, etc.

Balance ta radio pirate : ici, ça tape, pas ça papote.

20. Mettre en place un "Challenge Impossible"

➡️ Proposez aux apprenants un défi volontairement quasi impossible à réussir... pour voir jusqu'où ils peuvent repousser leur créativité et leur capacité à s'organiser.


21. Proposer des "Séances Backstage"

➡️ Ouvrez les coulisses : montrez comment vous avez conçu la formation, vos doutes, vos ratés, vos choix stratégiques. Cela rend l'expérience ultra-authentique et engageante.

Montre-leur les coulisses : qu'ils voient que même un magicien a parfois la braguette ouverte.
Quand t'as demandé du feedback (à tes élèves) et que t'es prêt pour la baston.

6: Business Design ou extinction des feux : choisis ton camp

T'as deux options, vieux frère.
Deviens artisan du vivant — celui qui fait pousser du vrai au milieu des ruines,
ou redevient poussière, un parmi les milliers, à végéter dans l’oubli.

Le Business Design, c’est pas un supplément pour ceux qui veulent "faire mieux".
C’est pas un luxe pour consultants en pantoufles.
C’est une question de survie.
Ta survie.
Celle de ton projet.
Celle de tout ce que t’essaies encore de construire dans ce foutu monde qui n’attend personne.

Alors si t’es prêt à cracher sur les recettes tièdes,
si t’es prêt à bâtir du solide, du vivant, du qui bat sous la peau,
fais pas l’erreur de rester seul.

👉 Inscris-toi à ma newsletter disruptive.
Pas des conseils tièdes. Pas des blablas LinkedIn.
Des coups de pied au cul créatifs.
Des idées qui brûlent encore quand t’as fini de lire.
Des outils pour mettre le feu proprement — ou pas proprement, on s’en fout, tant que ça vit.

Viens prendre ta claque régulière.
Viens nourrir ce foutu feu.


FAQ Féroce

C'est quoi le business design ?

Le business design, mon vieux, c’est pas une lubie de petit prince du business en baskets blanches.
Le business design, c’est l’art de créer un business qui respire, qui saigne, qui vit.

Pas un joli plan sur un tableau blanc.
Pas une suite de mots creux pondus à 800 balles la journée de conseil.
Non.
C’est penser ton modèle économique comme un organisme sauvage prêt à surgir,
construit autour des vrais besoins, des vraies douleurs, des vraies envies des vrais gens.

Tu pars pas de ton idée à la con.
Tu pars du vide à combler.
Et tu bâtis autour de ça — avec des tripes, pas avec des slides.

Business Design, c’est donc :

  • Trouver un vrai problème.
  • Créer une vraie solution.
  • Monter un vrai modèle qui tienne la route (et les tempêtes).

Sinon ?
Sinon t'es juste un de plus à faire semblant de comprendre comment marche ce foutu monde.

Quels sont les principes du design?

Le design, le vrai, celui qui crache et qui claque, il repose pas sur des recettes de cuisine à la con.
Il repose sur 7 principes.
Pas pour faire joli.
Pour mettre de l’ordre dans le chaos.

Tiens-les bien, parce que si tu les respectes pas,
ton business finira aussi chiant qu’une réunion de copropriété un dimanche matin.

Les voilà :

1. Contraste

Si tout est pareil, rien n'existe.
Faut des chocs, des clashs, des coups d'éclat.
Sinon ton projet s'écrase dans la grisaille.

2. Emphase

Faut choisir ton putain de sujet.
Pas mille.
Un seul, que tu balances en pleine gueule.

3. Motif

La vie, c’est des rythmes.
Ton business aussi.
Crée des motifs qui tapent dans la mémoire.
Pas des bribes sans queue ni tête.

4. Répétition

Ce qui frappe, c’est ce qui revient, encore et encore,
jusqu’à devenir une chanson sale qu’on n’arrive plus à oublier.

5. Mouvement

Tout doit donner envie d’avancer.
Pas de stagner.
Pas de moisir.
Une ligne claire vers un foutu objectif.

6. Espace

Laisse respirer.
Si tu bourres tout de textes, d’idées, de bruit,
t’as plus rien.
Le vide, c’est du muscle aussi.

7. Équilibre

Faut que ça tienne debout.
Pas en équilibriste ivre.
En bâtisseur qui sait comment tout s’appuie l’un sur l’autre pour pas s’effondrer au premier coup de vent.

Pourquoi le business design explose tout en 2025 ?

Parce que ceux qui s'entêtent à vendre des vieilles formations en kit vont se faire balayer par ceux qui construisent des expériences vivantes, brûlantes, alignées avec le vrai monde.

Est-ce que le business design, c’est pour moi ?

Si tu préfères pleurnicher sur la crise plutôt que de créer quelque chose de vivant, non.
Si t’as encore un peu de feu dans le bide, alors ouais, putain, c’est pour toi.

Peut-on utiliser le business design si on n'est pas une grosse boîte ?

Bien sûr que oui.
Et en fait, c’est même plus facile quand t’es petit :
moins de bureaucratie, plus de liberté pour tout casser et tout rebâtir.

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