
Qui sont les créapreneurs ?
Le créapreneur, c’est un feu d’artifice enfermé dans un bocal en verre.
À toi, le flou génial mais flou quand même
(Introduction – Portrait d’un feu d’artifice qui s’ignore)
T’as des idées.
Pas une. Des tonnes.
Elles te réveillent la nuit, te poussent à créer, écrire, filmer, coudre, composer, bidouiller… comme si ton cerveau refusait de faire pause.
Tu sais que t’as un truc.
Pas un diplôme, pas une méthode, pas un plan à 5 chiffres.
Un truc viscéral, vivant.
Un truc qui vibre quand tu le partages — sauf que tu le partages mal. Ou pas.
Ou trop. Ou n’importe comment.
Et là, tu t’étonnes :
Personne ne te voit.
Personne ne pige ce que tu fous.
Tu fais du beau, du sensible, du vrai… et tu restes coincé·e dans le brouillard.
Tu sais ce que t’es ?
Un feu d’artifice dans un bocal.
T’as la lumière, l’impact, l’émotion.
Mais tant que tu restes enfermé dans tes doutes, dans ton flou, dans ton “je veux pas me vendre”,
tu pètes dans le vide.
Et pourtant, tu pourrais illuminer.
Pas tout le monde, non.
Juste les bonnes personnes.
Celles qui cherchent exactement ce que tu portes, mais qui ne t’ont jamais trouvé.
Parce que t’étais pas clair. Pas structuré. Pas incarné.
Bienvenue, créapreneur(e).
Ce mot, on te l’a peut-être jamais dit, mais il est pour toi.
T’es pas un “freelance qui fait un peu de tout”.
T’es pas un “créatif paumé qui galère à se vendre”.
T’es pas un “artiste incompris qui attend son heure”.
T’es un putain de système solaire.
Mais personne le verra tant que t’auras pas trouvé ton axe.
Et cette page, elle est là pour ça.
Ecouter plutôt que lire ?
Sommaire
2. Qui est le créapreneur ? Portrait en clair-obscur3. Les 3 boulets aux pieds du créapreneur
4. Ce qu’il veut vraiment (même s’il ne l’avoue pas)
5. Ce qu’on lui sert (et qui le dégoûte)
6. Ce dont il a vraiment besoin (et qu’il ignore parfois)
7. Et maintenant, quoi ?
8. Le feu d’artifice a trouvé l’air libre
FAQ
2. Qui est le créapreneur ? Portrait en clair-obscur
(Spoiler : c’est pas juste un “artiste qui veut vivre de sa passion”)
Le créapreneur, c’est un animal étrange.
Il a la tête pleine de visions, mais les pieds plantés dans le sable mouvant.
Il avance… et il s’enfonce.
Il crée… et il doute.
Il veut qu’on le voie… mais il a peur d’être regardé trop fort.
Il a un cerveau qui turbine à l’encre de chine, une sensibilité à fleur de peau, et une allergie chronique aux cases, aux process, aux méthodes toutes faites.
Il est trop “intuitif” pour les business plans.
Trop “différent” pour les conseils LinkedIn.
Trop “tout” pour n’être qu’une seule chose.
Mais ne te méprends pas.
Sous ses airs de doux rêveur ou de marginal lumineux,
le créapreneur n’est pas là pour faire joli.
Il est là pour créer un monde.
Pas un empire scalable à coups de funnels.
Un monde, un vrai. Avec des mots, des formes, des images, des sons, des expériences, des énergies.
Et il le sait, au fond de lui.
Il sent qu’il n’est pas là par hasard.
Il sent que ce qu’il fait a une profondeur que les autres ne voient pas — parce qu’il ne sait pas encore comment leur montrer.
Il vit dans ce paradoxe constant :
- Il veut impacter… mais il a peur de déranger.
- Il veut vendre… mais il ne veut pas manipuler.
- Il veut être libre… mais il s’enferme lui-même dans ses propres injonctions.
Alors il fait quoi ?
Il s’éparpille.
Il s’auto-sabote.
Il attend que ça “prenne”, que ça “se débloque”, que “l’alignement arrive”.
Et pendant ce temps-là, des gens bien moins brillants que lui prennent la lumière.
Pas parce qu’ils sont meilleurs.
Juste parce qu’ils sont clairs.
Positionnés.
Audibles.
Le créapreneur, c’est pas une niche.
C’est une tribu qui ne sait pas encore qu’elle en est une.
Et tant qu’elle reste dans le flou, le monde continue de tourner sans elle.
Voici une liste incomplète mais réaliste des métiers que l’on peut classer dans la catégorie des “créapreneurs”, c’est-à-dire des personnes qui entreprennent à partir de leur créativité, de leur sensibilité, de leur vision artistique ou artisanale, souvent en solo ou petite structure :
🎨 Artistes & créateurs visuels
- Artiste peintre / illustrateur·rice
- Photographe indépendant·e
- Vidéaste / réalisateur·rice freelance
- Graphiste / designer graphique
- Dessinateur·rice / caricaturiste
- Calligraphe
- Tatoueur·euse
- Designer textile
- Artiste numérique / crypto-artiste
- Créateur·rice d’univers visuels (branding, moodboard, etc.)
🧵 Artisans & créateurs manuels
- Artisan·e d’art
- Céramiste / potier·e
- Bijoutier·e / joaillier·e indépendant·e
- Créateur·rice de vêtements / styliste indépendant·e
- Maroquinier·e
- Ébéniste / créateur·rice d’objets en bois
- Fleuriste artistique
- Artisan·e en cosmétique naturelle / savonnerie
- Luthier·e / fabricant·e d’instruments
📝 Écrivains & métiers de la plume
- Auteur·rice indépendant·e
- Poète / slameur·euse
- Scénariste
- Rédacteur·rice freelance / copywriter
- Storyteller / biographe / ghostwriter
- Journaliste indépendant·e
- Blogueur·se professionnel·le
🎭 Performeurs & métiers de la scène
- Comédien·ne / acteur·rice freelance
- Humoriste
- Danseur·se indépendant·e
- Chanteur·se / musicien·ne
- Performeur·se multidisciplinaire
- Voix-off / narrateur·rice
- Clown thérapeute / art-thérapeute par le jeu
🎧 Créateurs de contenu & numériques
- YouTubeur·se indépendant·e
- Podcasteur·se
- Créateur·rice de contenus pour les réseaux sociaux
- Influenceur·se à visée artistique ou pédagogique
- Créateur·rice de formations en ligne créatives
- Créateur·rice de templates, presets, assets (digital goods)
- Webdesigner / UI-UX designer indépendant·e
🌱 Créateurs holistiques & intuitifs
- Coach créatif / coach en expression de soi
- Thérapeute intuitif / holistique (s’il crée sa propre méthode ou expérience)
- Facilitateur·rice en intelligence collective créative
- Accompagnant·e en reconversion sensible ou artistique
- Designer de rituels ou d’expériences transformatives
- Mentor de projets atypiques / créatifs
🛍️ Entrepreneurs de marques créatives
- Fondateur·rice de marque artisanale ou artistique
- Créateur·rice de papeterie, objets inspirants, cadeaux personnalisés
- Éditeur·rice indépendant·e
- Créateur·rice de jeux ou d’oracles
- Designer d’expériences clients sensorielles ou immersives
En résumé :
Un·e créapreneur, c’est quelqu’un qui crée du sens, de la beauté, de l’expérience ou du lien, et qui en fait une activité professionnelle avec une forte intention identitaire ou artistique.
3. Les 3 boulets aux pieds du créapreneur
(Et pourquoi l’univers ne lui a pas encore filé le micro)
🧨 1. Il ne vit pas (encore) de ce qu’il crée
Il crée du beau. Du juste. Du vrai.
Mais l’argent, lui, ne suit pas.
Il bosse comme un dingue pour récolter des "Wahou bravo 🙌" et zéro virement.
Alors il doute.
Il baisse ses prix. Il fait des sessions gratos "pour aider".
Il multiplie les offres, les idées, les variantes.
Et il finit par se retrouver… à poil devant son propre compte en banque.
Pas parce qu’il est incompétent.
Mais parce qu’il croit encore que vendre, c’est trahir.
Que se faire payer, c’est devenir l’un de "ceux-là".
Tu sais, les vendeurs de vide. Les pros du faux magnétisme.
Alors il rame.
Il rame avec du talent. Avec du cœur. Avec du style.
Mais sans direction. Et surtout : sans structure.
👻 2. Il est invisible alors qu’il a mille choses à dire
Il ne veut pas “se mettre en avant” — ça le dégoûte un peu.
Il a vu trop de “personal branding” fait au forceps, trop de mecs en costard qui racontent leur enfance douloureuse pour vendre une formation à 197 €.
Alors il se tait.
Ou pire : il parle à tout le monde… et personne ne comprend.
Il poste à l’intuition, il écrit avec l’âme, mais il oublie une chose :
les gens n’écoutent que ce qu’ils peuvent entendre.
Et ce qu’ils entendent, c’est le message clair. Structuré. Cohérent.
Pas le poème crypté écrit à 2h du matin après une nuit de doutes.
Résultat :
Zéro demande. Zéro clic. Zéro client.
Juste des likes de ses potes artistes qui galèrent autant que lui.
🌀 3. Il s’éparpille jusqu’à l’épuisement
Il a un carnet de notes rempli de projets.
Des idées de podcasts, de retraites, de programmes, de concepts, de mantras, de visuels, de newsletters…
Mais il passe son temps à commencer. Jamais à finir.
Pourquoi ?
Parce qu’il veut que tout soit parfait.
Parce qu’il ne supporte pas l’idée de rater.
Parce qu’il pense que c’est l’intuition qui doit tout guider.
Sauf que l’intuition sans cap, c’est juste un GPS sous acide.
Alors il tourne.
Il refait ses offres.
Il recommence sa bio.
Il refait son site.
Il prend une autre formation.
Et pendant ce temps, il n’avance pas.
Ces trois boulets-là, tu les connais peut-être.
Peut-être même que tu les appelles “mon fonctionnement créatif”.
Mais ce ne sont pas des traits de caractère.
Ce sont des freins.
Et le jour où tu les reconnais pour ce qu’ils sont, tu commences enfin à avancer.
4. Ce qu’il veut vraiment (même s’il ne l’avoue pas)
(Spoiler : ce n’est pas la gloire, ni les followers, ni les logos clients en bas de page)
Tu lui demandes ce qu’il veut, il te dira :
“Toucher les gens.”
“Transmettre.”
“Créer quelque chose de beau.”
Ok. Noble. Sincère.
Mais creuse un peu.
En vrai, ce qu’il veut, c’est beaucoup plus concret. Et beaucoup plus viscéral.
💰 Il veut vivre de son art — pour de vrai
Pas survivre. Pas bricoler. Pas “arrondir les fins de mois”.
Il veut que ce qu’il crée paie le loyer, les croissants et les escapades à Lisbonne.
Il veut envoyer ses factures sans trembler, être payé sans se justifier.
Pas pour devenir riche, non.
Juste pour créer en paix.
Créer sans la boule au ventre.
Créer sans devoir faire semblant.
Créer sans quémander.
👁 Il veut être vu. Vraiment vu.
Pas liké.
Pas validé par ses potes artistes.
Vu par les bonnes personnes. Celles qui cherchent exactement ce qu’il a dans le ventre.
Il veut qu’un jour, quelqu’un dise :
“Putain, c’est exactement ça que je ressentais, mais je savais pas le dire.”
Il veut que ses mots, ses formes, ses couleurs, ses idées fassent écho chez l’autre.
Il veut qu’on le reconnaisse — pas comme un produit.
Comme une présence.
🎯 Il veut aller au bout d’un truc
Pas juste papilloter entre deux fulgurances.
Il veut terminer ce projet.
Tenir ce cap.
Lancer ce programme.
Incarner cette putain d’intuition qui le hante depuis trois ans.
Il en a marre de tourner en rond avec ses carnets Moleskine.
Marre de dire “j’y travaille” quand ça fait six mois qu’il n’a rien publié.
Ce qu’il veut, c’est créer quelque chose de vivant, de fini, de concret.
Quelque chose qui laisse une trace, même petite.
Mais vraie.
Et il n’a pas tort.
Parce que le monde crève sous le bruit et les clones.
Et lui, il a justement un truc qu’on n’a pas encore entendu.
Mais pour ça, il va devoir lâcher quelques illusions.
Et arrêter de croire qu’il peut rester dans l’ombre en espérant qu’on le devine.
5. Ce qu’on lui sert (et qui le dégoûte)
(Ou pourquoi il ferme les pages de vente plus vite qu’il ne les lit)
Le créapreneur, c’est pas un pigeon.
C’est pas non plus un stagiaire de l’influence.
Il sent quand c’est fake. Il sent quand c’est creux. Il sent quand on le manipule.
Et pourtant, on lui sert toujours la même soupe tiède :
🥄 “Expose-toi tous les jours, sinon t’existes pas.”
Traduction : fous ta vie privée en pâture pour mériter l’attention.
Montre ton café du matin, ton chat sur le clavier, ta vulnérabilité bien marketée.
Il essaie. Une fois. Deux.
Mais il se sent sale.
Parce qu’il ne veut pas vendre en s'exhibant. Il veut vendre en apportant.
Et puis, il n’a pas signé pour être un influenceur.
Il a signé pour créer, pas pour faire le show.
🥄 “Trouve une niche, deviens expert, vends ta méthode”
On lui dit de se couper en morceaux.
De choisir un bout de ce qu’il fait, d’en faire une promesse, et de la marteler jusqu’à saturation.
Mais lui, il n’a pas une offre.
Il a une vision.
Et les visions, ça ne rentre pas dans des cases avec “problème précis – solution unique – tarif en 3 mensualités”.
Résultat : il essaie de se forcer.
Et il se dégoûte lui-même.
Il devient un fantôme dans son propre business.
🥄 “Fais-toi coacher pour scaler ton offre”
Il ouvre un Zoom avec un coach "business", et en 10 minutes on lui parle :
- tunnel de conversion,
- CAC,
- LTV,
- A/B testing.
Lui, il voulait comprendre comment mieux transmettre ce qu’il ressent.
Pas comment transformer son art en entonnoir.
Alors il sourit. Il hoche la tête.
Et il ferme l’onglet avec un goût de métal dans la bouche.
Il veut quoi en vrai ?
Pas qu’on le booste.
Pas qu’on l’automatise.
Pas qu’on le clone.
Il veut qu’on l’aide à être plus lui-même. En plus clair. En plus audible. En plus incarné.
Pas en plus marketé.
6. Ce dont il a vraiment besoin (et qu’il ignore parfois)
(Spoiler : ce n’est pas un autre template Notion ni un slogan en anglais mal traduit)
Le créapreneur pense qu’il lui manque de la motivation.
Ou une meilleure audience.
Ou une énième formation à 67 € sur “comment attirer des clients en dormant”.
Mais ce qu’il lui manque, c’est pas ça.
Ce qu’il lui manque, c’est l’ossature. La colonne vertébrale. Le cap.
Il n’a pas besoin de “plus”.
Il a besoin de plus clair, plus juste, plus incarné.
🧭 1. Il a besoin de clarté identitaire
Pas juste “qui est ta cible” ou “quels sont tes services”.
Il a besoin de savoir :
- ce qu’il porte,
- pourquoi c’est important,
- et pour qui ça devient vital.
Il a besoin de mettre des mots puissants sur son invisible,
de traduire ce qu’il ressent en quelque chose que les autres peuvent entendre, désirer, acheter.
Pas un slogan creux. Une formulation vibrante.
Celle qui dit : "Ah, c’est ça que je fais. C’est ça que je vends. Et c’est comme ça que je le dis."
🧱 2. Il a besoin de structure douce mais ferme
Un cadre qui ne l’étrangle pas.
Un chemin qui ne le force pas à devenir un autre.
Mais un fil rouge. Une direction. Un système souple où la créativité ne se perd pas — elle avance.
Pas une to-do à 47 points.
Juste les bons jalons.
Les bons repères.
Un peu comme un jardinier qui met un tuteur à une plante : pas pour la dompter, mais pour l’aider à pousser sans se casser.
📡 3. Il a besoin de résonance
Pas de visibilité de masse.
Pas de viralité.
De résonance.
Il veut que ce qu’il crée touche, pas juste “plaise”.
Et pour ça, il doit arrêter d’imploser dans sa tête et commencer à émettre. Fort. Clair. Droit.
Quand il trouve sa vibration — sa vraie fréquence —
les gens viennent.
Pas tous. Pas en masse.
Mais les bons. Les alignés. Les prêts.
Ceux qui disent : “Je veux ça. Je veux toi. Je veux ce que tu portes.”
Et là, il n’a plus besoin de convaincre.
Il devient magnétique.
Mais tant qu’il croit qu’il doit juste “bosser plus dur”,
ou “copier ce qui marche”,
ou “attendre le bon moment”…
il tourne en rond, dans son bocal.
7. Et maintenant, quoi ?
(Tu veux continuer à tourner ou tu veux tracer ?)
Tu peux refermer cette page et continuer à faire comme avant.
Poster à l’instinct.
Changer ton offre tous les mois.
Faire un post qui finit par “Qu’en pensez-vous ?”
Attendre un alignement cosmique.
Ou une illumination divine qui te dira enfin : “Voilà ta voie.”
Mais soyons clairs :
Tu sais déjà.
Tu sais que tu portes un truc grand.
Tu sais que ton talent est réel.
Et tu sais aussi que t’es en train de le saboter à petit feu.
Alors deux chemins.
🚪 Chemin 1 : Tu continues comme avant
Tu changes encore une fois ta bio Instagram.
Tu refais ta charte graphique.
Tu lis des posts LinkedIn en espérant un déclic.
Tu lances une énième “offre intuitive” que personne ne comprend.
Tu passes des nuits à douter.
Et dans six mois, t’es au même point, sauf que t’as encore moins confiance.
🛠️ Chemin 2 : Tu te structures
Pas avec des tunnels, des hacks ou des plans de domination mondiale.
Avec toi.
Ta voix. Ta clarté.
Ton message.
Ton feu.
Tu commences à choisir ce que tu veux vraiment dire.
À nommer clairement ce que tu vends.
À organiser ton bazar d’idées en une putain de ligne claire.
Pas pour plaire à tout le monde.
Mais pour que les bons t’entendent. Enfin.
Ce choix-là, c’est pas juste un plan d’action.
C’est un acte de création radicale.
Tu ne deviens pas un “pro”.
Tu deviens plus toi-même.
Mais en version audible.
En version vivante.
En version qui construit quelque chose — pas juste qui rêve.
Parce qu’au fond, t’as pas besoin de motivation.
T’as besoin de cap.
De cadre.
De vérité.
Et de mots qui te ressemblent.
8. Le feu d’artifice a trouvé l’air libre
(Ou comment on passe du bocal à l’impact)
T’as pas besoin de changer qui tu es.
T’as pas besoin de crier plus fort, ni de poster plus souvent.
T’as pas besoin de devenir un gourou de l’autorité, ni un petit robot de la productivité positive.
Tu dois juste retirer le couvercle.
Celui du flou.
Celui du “j’attends d’être prêt·e”.
Celui du “je vais le faire à ma façon”... sauf qu’à ta façon, tu tournes en rond depuis 2 ans.
Tu n’as pas besoin de plus de contenu.
Tu as besoin de clarifier ta trajectoire, ton message, ton positionnement, ton univers.
Pas pour “faire sérieux”.
Pour devenir inévitable auprès des bonnes personnes.
Et c’est exactement pour ça que j’ai créé Class Clarté™.
🎯 Class Clarté™, c’est pas une formation. C’est une mise au clair.
Une mise au clair de qui tu es dans ton business.
De ce que tu veux transmettre vraiment.
De pourquoi tes offres ne résonnent pas encore.
Et de comment rendre tout ça visible, magnétique, et aligné.
On ne t’y apprendra pas à vendre ton âme.
On t’y apprendra à nommer ton feu, à tracer ta route, à devenir audible sans t’excuser d’exister.
Parce que tu n’es pas trop flou.
Tu es juste mal formulé, mal structuré, mal cadré.
Et ça, ça se répare.
Alors voilà.
Tu peux continuer à péter dans un bocal.
Ou tu peux allumer la mèche, trouver ton ciel, et faire péter ton feu d’artifice — en grand, en clair, en toi.
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(Et arrêter d’attendre qu’on te comprenne par hasard.)
FAQ
Qu’est-ce qu’un créapreneur exactement ?
Un créapreneur est un créatif-entrepreneur : une personne qui crée des projets, des offres ou des œuvres à partir de son talent, de sa sensibilité et de sa vision, et qui cherche à en vivre sans se trahir. Il ou elle peut être artiste, coach, artisan·e, créateur·rice de contenu, designer ou thérapeute. Le créapreneur ne veut pas juste vendre, il veut marquer, élever, inspirer.
Pourquoi les créapreneurs ont du mal à se faire connaître ?
Parce qu’ils sont souvent flous dans leur message. Trop dans la tête, pas assez dans la clarté. Ils ont des idées puissantes mais ne savent pas comment les traduire. Résultat : ils restent invisibles malgré leur talent. Leur communication manque de structure, de différenciation et d’appel clair à leur public cible.
Comment vivre de son activité créative quand on est créapreneur ?
La clé, ce n’est pas de bosser plus, c’est de clarifier :
- ce qu’on vend vraiment,
- à qui on s’adresse,
- et pourquoi c’est différent de tout ce qui existe.
Quand ton message est clair, ton audience sait exactement pourquoi elle doit travailler avec toi. La clarté, c’est ce qui transforme une belle idée en une offre qui se vend.